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 Phantas Attore. Olive. - Présentation. -

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Phantas A. Olive
Phantas A. Olive
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Âge : 28
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Personnage Incarné : Le Fantôme de l'Opéra.
Surnom : Ghosty pour ses amis. Monsieur Opéra pour les élèves, musiciens, danseurs, acteurs.

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MessageSujet: Phantas Attore. Olive. - Présentation. -    Phantas Attore. Olive. - Présentation. -  Empty05.07.12 17:59

Un début dans la vie

« Seuls les idiots sont brillants au petit déjeuner. »
▬ Oscar Wilde. - Le gay, ici. -
Phantas Attore. Olive. - Présentation. -  Fantom12Personnage Incarné : Le Fantôme de l'Opéra. |Légende Urbaine.|.

Nom, prénom(s) : Phantas Atorre. Olive.
Surnom : Ghosty pour ses amis. Monsieur Opéra pour les élèves, musiciens, danseurs, acteurs.
Âge : Vingt-quatre années. Un peu jeune pour être Directeur, tu le sais.
Métier : Directeur de l'Opéra Garnier.
Camp : Un brin contre.


La Débâcle

« Une oeuvre d'art n'est supérieure que si elle est, en même temps, un symbole et l'expression exacte d'une réalité. » ▬ Guy De Maupassant. - Une gamine aigrie, ici. -


  • Noctem et Phantas : Tu sais très bien que, en fait. Tu te contrefiches de ce mec. Tu n’es pas méchant avec lui, ou alors bien, quand tu le vois et que tu lui parles. Tu restes d’une apparence neutre. Lui ? Un Dieu ? Le maitre de son Univers ? Du temps qu’il laisse ton Opéra tranquille, le reste, t’importe peu. Même si au fond, tu sais que son manège est malsain.

  • Votre camp et Phantas : Tu n’es pas vraiment un partisan de la Rébellion, alors tu évites à tout prix d’avoir des discussions avec différents hominiens sur la bienfaisance de Noctem, ou au contraire, sur sa connerie des plus gargantuesques. Bien entendu, quand des élèves souhaitent faire une comédie musicale prônant la bonté de Noctem, tu dis oui. C’est toujours sympathique d’avoir des fonds… Tu trahis ton camp, petit vicelard.

  • Votre degré d'engagement : Comme déjà dis, tant que ton Opéra reste debout. Le reste importe peu. Donc, aucun. Ce n’est pas vraiment bien quelque part, tu le sais. Mais dans la mesure où tu possèdes une obsession un peu, voire beaucoup démesuré pour ton établissement de culture et de plaisir, tu ne peux être le chevalier blanc de la Rébellion. Et puis, de toute façon, tu ne veux pas. C’est bien trop compliqué. Sale fainéant attardé.

  • Votre plus grande peur : Perdre ton cher Opéra et être un lamentable sans domicile fixe. Cela serait con quand même, à ton âge, en plus ? Personne d’autre ne possède le talent et la maitrise pour avoir en ses pâles mains le magnifique et somptueux Opéra Garnier. Centre religieux de malice, de culture, et de jouissance musicale.


Le Temps retrouvé

« Votre sexe n’est là que pour la dépendance : Du côté de la barbe est la toute puissance. » ▬ Molière. - Qu'une pauvre boxeuse, ici. -


  • Les pieds sur le magnifique et somptueux bureau en ébène, tu regardes d’un air mélancolique un fragile vestige dans une vitrine. Tu te souviens de ce jour funeste. Pas de chance, hein ? Pauvre idiot. L’évènement majeur de ta vie, de ta génération. Tu t’en souviens comme cela était hier. Pour dire vrai, cela était il y a, maintenant, plusieurs années. Cela n’est pas pour rien que tu portes un gant en cuir goudron à ta main droite. Brûlure extrême. Tu aurais dû perdre ton membre. Un coup de chance, apparemment. Tu grognes à la pensée funeste qui t’amène à la tragédie fantasmagorique de l’Opéra Garnier. C’est pendant l’aurore de cette soirée que tu pris conscience de ta destinée malsaine et viscérale. C’est pendant cette nuit d’Hivers qu’on te donna le rôle de Directeur temporaire. Maintenant, tu es Directeur. Point. Comment as-tu accédé à ce poste, déjà ? Un meurtre ? Non, un retour des choses pour être beaucoup plus exact. Et puis, cela n’est rien d’autre qu’une pendaison dans les souterrains de l’Opéra Garnier. Un suicide. Rien de bien méchant. Tu voulais sa place, tu es d’une jalousie extrême en plus d’avoir en ton être un comportement de gamin à l’âge mental défectueux. Franchement, dis-moi. Et tu le sais, quel Directeur donne des bonbons à ses élèves ? Quel Directeur donne des soleils souriants quand tes employés fournissent du bon travail, et un nuage grisâtre pleurant quand la répétition ce passe mal ? Aucun. Hormis toi. Particulier, n’est-ce-pas ? Tu masses mollement ta main gantée sur ta joue droite en baillant, semblable au pire des hérétiques du Moyen-Age. Fainéantise pourrait être ton seconde prénom si celui d’Atorre ne serait présent. Déjà que tu pestes quand tu dois sortir de ton bureau pour dire : « Bonjour. » à l’Inspecteur, alors faire le tour des innombrables salles de répétions, tu le fais rarement. Mais. Quand tu y vas, tu distribues avec passion tes petits soleils et tes mignons petits nuages. Parce que ça, tu y tiens. Abruti.

    Tu retires finalement tes deux pieds dans un deuxième grognement meurtrier contre toi-même. Mon Dieu que cela est dur. Tu restes pourtant extrêmement fin pour un adulte à la responsabilité gigantesque. Comme un homme gardant un troupeau de mouton, tu ne pourrais avoir une masse graisseuse importante et titanesque. Tu réajustes rapidement ton bandeau bordeaux sanguinolent. Tu ne sors jamais sans. Pourquoi ? Parce que tu es un fantôme, tu le sais. Depuis cette passation de pouvoir au sein de l’établissement musical. Alors, personne ne doit te reconnaitre, aussi bienfaiteur qu’il doit être. Tant pis. D’un coup de pied bien placé, tu décoches la porte de ton bureau qui s’ouvre dans un fracas, un bourdonnement méphistophélique, une entité presque vivante. Bref. Ta secrétaire se lève rapidement et t’indique ton programme de la matinée. Une douce matinée de début d’été, qui se souhaite être fraiche, revigorante et simple. Simple, comme toi. Tu n’es pas difficile à vivre. Enfin, sur plusieurs points. Tu n’es pas exigeant au niveau de ta nourriture, tu mangerais presque un rat des égouts qui vient de mourir, et encore moins exigeant au niveau de ton confort de vivre. T’embrassas délicatement ta jeune secrétaire sur ses deux joues d’albâtres et lui colle avec douceur un petit soleil souriant sur le front. Et. Tu t’engouffres dans le couloir, en sautillant comme un gamin, en sifflotant un air d’Opéra. Un geste de la main à une danseuse à la crinière d’opalescente, et tu repars de plus belle vers l’une des nombreuses salles de répétition. L’espèce de loque que tu es en costume jaunâtre – Car oui, le goût de tes vêtements se facture dans des pigments chatoyants, virevoltants au creux des circonférences des autres. Et arrachant aussi, parfois, leurs pupilles circulaires. Parce que le vert pomme acide, cela fait mal aux yeux. – s’arrêta alors devant une jeune étudiante en Lettres. Car oui, ils viennent souvent par ici. L’endroit est calme. Et tu acceptes volontiers que des élèves trainent ici, pour étudier. Du temps qu’ils ne dérangent point. Tu tends les bras avant de lui fournir un énorme câlin. Toujours sympathique et aimable ! Abruti. Encore une fois.

    Continuant ta route, sautillant gaiment et joyeusement, tu poses ton doigt sur le mur, traçant une ligne imaginaire au fur et à mesure que tu avances. Pourtant, ton enveloppe corporelle ne fut pas toujours celle-ci. Pas toujours d’une chevelure céruléenne, cela n’est pas naturel, bien entendu. Bref. Tu te souviens d’un passé au creux de l’ombre. Tu étais le monstre au derrière de la scène, le petit être qu’on demande, un râle dans la gorge pour qu’il apporte un verre d’eau à la Déesse de la pièce. Un pantin qu’on manipule avec facilité et déconcertassions. Tu te souviens très bien de toutes ses personnes qui te crachaient longuement dessus car ton travail n’était pas assez satisfaisant et maintenant, qui t’admires. Ancien étudiant en Théâtre et déjà diplômé en musique à ton plus jeune âge. Tu avais le surnom : « D’ange de la Musique. ». Un diplôme de chanteur lyrique, et tu joues à la perfection du violoncelle. Instrument au combien difficile. Très jeune. Tu avais toujours excellé dans le domaine musical, cela n’était pas nouveau. Tu voulais t’échapper de la basse société, d’une ville en perdition, semblable à une putain se mourant lamentablement. Mais finalement, tu n’eus seulement qu’un petit poste à l’Opéra Garnier en tant que Stagiaire. Un moins que rien, mais plus maintenant. Tu te stoppes. Regardant l’immense horloge se trouvant contre le mur. En or massif. Splendide. Véritablement. Tu en es si fier. Tu places tes mains dans tes poches. Ton nom ainsi que ton prénom est inscrit au sein de cette horloge. Avec celui des autres Directeurs. Du moins, les anciens. Le Fantôme de l’Opéra est présent auprès de l’Opéra Garnier. Pour. Toujours. Un sourire viscéral et luciférien s’incrusta sur tes deux barrières finement pulpeuses. Tu regardas à droite, puis à gauche. Personne. Tu appuyas rapidement au centre de l’horloge qui, dans un claquement métallique se déplaça sur le côté. Ton enveloppe corporelle s’engouffra dans la brèche nouvellement créée avant que l’imposante horloge reprit sa position initiale.

    Ton sourire disparu. Et laisse place à une expression inflexible et vipérine. Tu retires ton bandeau carmin, laissant apparaitre ton faciès, qui se trouve être, plutôt attirant. Tu retrousses tes manches avec hargne, continuant ta marche dans les sous-sols que tu as, bien entendu, interdit d’accès. Tu es loin d’être idiot. Ton avancée continue, pendant dix minutes. Puis quinze. Et enfin, trente. Plus du descends et tu pénètres dans l’antre de la créature du Sixième Cercle, plus la température devient glaciale. Hivernale. Polaire, même. Tu grimaces démoniquement, d’une expression qui ne te ressemble point. Tu retires les diverses toiles d’araignées, fait fuir les rats en tapant du pied avant d’émettre ta présence d’hominien auprès d’une salle circulaire. Tu toussotes doucement. En réalité. Tu te trouves être gravement malade. Mais cela, personne ne le sait. Cela ne regarde pas les autres, et nullement envie de devoir faire le choix de ton successeur. C’est Ton Opéra. Pas celui d’un autre ! Et puis quoi encore ? Jamais tu n’accepteras qu’on te le pique. Jamais. Cela est ton enfant. Ton œuvre. Tu en es amoureux et personne, rien ni personne ne pourra te le piquer. Tu grognes pour la troisième fois à cette pensée. Tu n’aimes pas cela. Bien au contraire. Bref. Tu t’avances et te place devant le seul meuble présent dans cette pièce circulaire. Une ancienne commode, rongée par l’humidité, les nombreuses et grouillantes mites, ainsi que les rats. Tu tires l’un des nombreux tiroirs en bois à l’aide de ta main droite gantée et tu observes son contenu. Un costume de soirée totalement noirâtre. Cravate comprise. Un long manteau en cuir muni d’une capuche cachant au minimum, la partie supérieure du visage. Et enfin. Un masque. Lui aussi, aussi sombre que les Ténèbres aveuglent, rampant paisiblement vers la Lumière. L’homme hante. Comme un fantôme.

    Le Fantôme de l’Opéra est là.

    Dans l’ombre.



Le Retour à la terre

« Bouh. » ▬ Le Fantôme de l'Opéra. - Un abruti congénital, ici. -
Pseudonyme : GJRJRIRJIG. Pour vous servir.
Sexe : Mâle.
Âge : Seize années.
Source de l'avatar : Splendid. - Happy Tree Friends.-.
Comment avez-vous découvert SQE ? Par le Forum : Sidh Elfrost. Un partenaire.
Des questions, des réclamations ? Je vous aime. Owi.
Sinon, quand j'ouvre la Chat Box. J'ai... Un truc Chelou. Une espèce de vidéo. Cela doit être normal. Je suppose.
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Mallory C. Polypheme
Mallory C. Polypheme
ADMIN — L'œil du Cyclope
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Âge : 30
Messages : 345
Date d'inscription : 28/11/2011

Personnage Incarné : Polyphème
Surnom : Cyclope
Préface de Cromwell : Dans l'oeil du Cyclope

VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE
Âge : 23 ans
Métier : Informateur, Berger
Que pensez-vous de Noctem ? :
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MessageSujet: Re: Phantas Attore. Olive. - Présentation. -    Phantas Attore. Olive. - Présentation. -  Empty15.07.12 15:28

Hoy, welcome !!

Alors, tout bon tout bon ! Et je trouve ça très interessant de le prendre côté coca cola LU plutôt que personnage du livre, ça ouvre beaucoup plus de possibilités ! Fiche validée ! validée !
 
 

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