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 Moi, ch'uis qu'un chien d'sa mère, et un personnage secondaire - Javert

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Léopoldine J. Magyar
Léopoldine J. Magyar
« we didn't start the fire »
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Messages : 33
Date d'inscription : 25/03/2012

Personnage Incarné : Javert

VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE
Âge : 20 ans
Métier : chien de garde
Que pensez-vous de Noctem ? :
Moi, ch'uis qu'un chien d'sa mère, et un personnage secondaire - Javert Empty
MessageSujet: Moi, ch'uis qu'un chien d'sa mère, et un personnage secondaire - Javert   Moi, ch'uis qu'un chien d'sa mère, et un personnage secondaire - Javert Empty25.03.12 10:51

Un début dans la vie

Dites-vous bien que la littérature est un des plus tristes chemins qui mènent à tout.
▬ Breton
Moi, ch'uis qu'un chien d'sa mère, et un personnage secondaire - Javert Prasa_11Personnage Incarné : Javert, de l’œuvre Les Misérables de ce cher Hugo.

Nom, prénom(s) : Magyar, Léopoldine
Surnom : Javert, officiellement, ou Léo, Magyar à pointes, par monsieur.
Âge : 20 ans
Métier : Etudiante en deuxième année de droit, avec la nette intention de devenir procureure, pour latter les rougnougnous de papa Hugo pendant les procès.
Camp : Neutre, à tendances favorables pour Noctem.


La Débâcle

Celui qui n'a pas peur n'est pas normal ; ça n'a rien à voir avec le courage.
▬ Sartre

Noctem et vous : Noctem est au-dessus de tout. Donc Noctem représente la Justice. Il faut donc respecter Noctem, quand bien même celui-ci a jugé bon de vous coller un auteur convaincu que vous êtes son personnage aux basques. Autant dire que tu es mitigée, ma grande. Partagée entre cette envie de lui faire manger tous les volumes des Misérables par tous les orifices possibles, et cette considération que l’on doit à celui qui gouverne. Et, comme le laisse présager le personnage de Javert, c'est cette considération qui l'emporte. A tel point que certains avançaient que tu nourrissais le désir secret de faire partie de ses sbires les plus proches. Les plus proches de la justice et du vrai, de ce monde-là.
Votre camp et vous : Ainsi que le laisse supposer les rumeurs, il paraîtrait que tu veuilles faire la police, depuis les plus hautes instances de Noctem. Toi-même, tu hésites encore. Après tout, les mouvements de rébellion sont certes lourds et orgueilleux, ils ne sont jamais là pour rien. Ainsi, tu restes relativement neutre, obéissant, parce que c'est la seule chose que tu sais faire.
Votre degré d'engagement : Quasiment nul, pour l'instant. Après tout, tu es encore jeune. Toutefois, les études de droit ne te laisse pas indifférente à tout ce qui se passe. Et, de la même manière, Hugo n'est pas du genre à garder sa langue dans sa poche, au contraire. En fait, tu assistes à toutes ses auditions. Si bien que tu es presque autant engagée que lui, pour ne pas dire que tu essaies de te forger un avis sur sa propre vision des choses.
Votre plus grande peur : Qu'on t'abandonne aux mains des forbans. Que tu ne puisses pas te rendre utile dans le seul domaine où tu sembles exister : faire appliquer la loi. Que les méchants gagnent, crainte que tu nourris puérilement depuis ta plus tendre enfance. Encore faut-il savoir discerner le bon du mauvais.


Le Temps retrouvé

La vie est un voyageur qui laisse traîner son manteau derrière lui, pour effacer ses traces.
▬ Aragon

« J'ai souvent été sévère dans ma vie. Pour les autres. C'était juste. Je faisais bien. Maintenant, si je n'étais pas sévère pour moi, tout ce que j'ai fait de juste deviendrait injuste. Est-ce que je dois m'épargner plus que les autres. »

Moi, ch'uis qu'un chien d'sa mère, et un personnage secondaire - Javert Prasa_14
La plume du stylo s’écrase dans un bruit désagréable de crissement contre la feuille. Tu réajuste une mèche de cheveux derrière ton oreille. Ils commencent sérieusement à devenir trop longs. Tu commences sérieusement à tout trouver trop long. Surtout le temps. Il t’a toujours paru s’étirer un peu trop à ton goût, comme un vieux chewing-gum dont on ose encore mettre l’élasticité à l’épreuve. De toute façon, tu n’en manges jamais. Ça n’est vraiment pas pratique pour t’entraîner à discourir. Et puis, tu ne nourrissais pas une grande envie de ressembler à un bovin. Déjà qu’on t’assimilait souvent à un chien de garde. Ou mieux encore, pour les plus lyriques, à un dragon. En parlant de lyrisme, ton regard se détache de ton compte-rendu sur le stage au tribunal. D’un mouvement lascif sur le côté, tu poses tes yeux verts écailles sur l’homme penché à son bureau dans le salon voisin. Tu n’as que son dos dans ton champ de vision, mais tu t’en moques. Tu connaîtrais presque toute sa physionomie par cœur. Et son caractère de démon aussi. Tous ces genres de détail à la noix qu’on retient bien plus facilement que les épais volumes du code pénal somnolant sur ton étagère. Oh, tu as maintes fois tenté de remplacer le souvenir de ses tics de langage, par la lecture des articles du droit public. En vain. Il te hante l’esprit, le bougre. D’un autre côté, ça n’était pas comme s’il n’avait pas entrepris de faire de toi sa propriété. Droits d’auteur obligent.

Tu ne préserves pas de nombreux souvenirs de ton enfance. Tu as fait partie de ceux pour qui l’existence ne rime à rien. Un monde sans rimes, c’est bien triste, avancerait ton « créateur ». Tu te passerais bien de ses poèmes ; néanmoins, c’est comme s’ils te collaient au corps depuis le commencement. Les Contemplations semblent avoir été écrites pour toi. D’un autre côté, on a jugé bon de te nommer Léopoldine. Ou la fille noyée de Victor Hugo. Qui sait qui a hérité du nom d’un cadavre blanchi par l’eau de la Seine ? C’est toi. A l’époque, tu aurais trouvé cette affaire passionnante. Très tôt, la quête du juste par le morbide t’a attirée. Tu ne pouvais t’empêcher, comme tout être humain bien pensant, de haïr le mauvais et de défendre le bon. Ce que toi, en tout cas, tu jugeais bon. Oh, l’opinion publique n’avait pas à s’en faire ; il n’y avait pas plus loyale que toi. Droite et fière comme une tour de cathédrale. Comme celle de Paris, tu te souviens ? A peine plus haute que trois casques allemands que, déjà, tu ne vivais que pour les lois. Une éprise de justice, qui se complut à courser les repris de justice en culotte courte. C’est parce que tu ne voulais surtout pas finir comme maman. Maman est quelqu’un de respectable, maintenant, puisqu’elle est fonctionnaire. Mais il paraîtrait qu’avant, elle avait fait des bêtises, comme seuls les jeunes peuvent en faire. Toi, tu serais bien sage. Tellement que ça pourrait en devenir une maladie. Petit chien de garde.

Moi, ch'uis qu'un chien d'sa mère, et un personnage secondaire - Javert Prasa_16
Durant ton enfance, ce rôle en a touché plus d’un, et est même très bien passé. Au collège, et surtout au lycée, ça a fait un peu plus de bruit. Frigide osaient avancer certains, aimable comme une porte de prison témoignaient d’autres. Bref, la petite jeune fille, au prénom de grand-mère, eut bien du mal à s’intégrer. Pourtant, tu t’en moquais. Tu ne te préoccupais que d’une chose : faire carrière dans la police. Et, pourquoi pas, passer par maton dans une prison, aussi. Là où tous ces gredins s’entassaient comme des mégots dans un cendrier. Plus ils te répugnaient, et plus tu te montrais véhémente à les enfoncer plus bas que terre. « Ils étaient irrémédiablement perdus. Rien de bon ne pouvait en sortir. » Tu n’as même plus foi en l’Homme, désormais, juste en l’allégorie de la Justice. Ce sentiment n’a fait que s’exacerber lorsque tu as cru comprendre, petit à petit, que maman n’était pas maman, et papa n’était pas papa. Papa était ailleurs, semblait-il. Un sans cœur de la pire espèce s’il n’avait pas pris le soin de venir te chercher. Il ne devait pas valoir grand-chose. Affaire classée, donc. Ta vie n’était composée que de ça, de dossiers bien rangés. Néanmoins, l’armoire dans laquelle ils étaient rangés était bien brinquebalante.

Il aura fallu un seul homme, au départ, pour y semer la pagaille. Et puis un second pour t’asséner le coup de grâce. En attendant, le premier choc pétrolier se produisit l’année de tes seize ans. Ce fut l’une des premières fois où tu te rendais à l’hôpital. Oh, pour une blessure bénigne, certes, mais qui eut des conséquences on ne peut plus révélatrices. C’est un peu comme la période de l’après-guerre. Pourtant, au départ, tu avais fait un effort. Tu étais parvenue à se mêler à une bande d’adolescents, le temps d’une soirée. C’était le minimum à fournir, si tu ne voulais pas être bizutée tout au long de ton année scolaire. Seulement, la sortie a un peu dégénéré, comme tout moment d’une jeunesse. Ce fut tellement pitoyable que tu préfères ne pas l’exposer. Seul le résultat et celui qui l’avait écrit t’importait encore. Un résultat écrit sur ta figure, avec une petite lame de quelques millimètres d’épaisseurs. Celle que l’on utilise souvent pour les agressions en pleine rue, car elles sont très discrètes. Cette petite lame donc, elle fut pour ta tronche. Déjà que tu n’étais pas très jolie, voilà à présent que tu ressemblais à un soldat au sortir de la guerre. Toi qui te voulais gratte-papier et défenseuse de la justice, voilà qu’on te surnommait berserker à la sortie des cours. Peu importait en fait, les petits patronymes que tes camarades pouvaient t’offrir. Quelqu’un t’avait fait du mal et courait certainement encore dans la nature. Bien sûr, c’était un délit mineur, bien sûr, il n’y avait pas eu mort d’homme, juste celle de quelques centimètres de peau. Néanmoins, on commençait par s’armer nonchalamment d’un couteau de cuisine, et on finissait avec un revolver entre les pattes. Tu te devais donc de mettre la main sur cet individu, sans même prendre le temps de savoir qui il était. Pour toi, il ne se résumait plus qu’à sa bêtise. Bêtise que de t’avoir agressée. Toi, le berserker. Le dragon. Le chien de police. Aucune assimilation à deux personnages hugoliens ne sera acceptée, merci.

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Ta vie ne s’est donc plus résumée à ta seule personne. Le facteur « cible » avait fait son entrée, avec autant de grâce qu’un alligator dans une église. Tu es dépourvue d’aucune grâce, Léopoldine. Sauf quand tu ne t’en rends pas compte. Mais après tout, il fallait au moins ça pour que l’on puisse reconnaître en toi le personnage de Javert. Il fallait au moins ça pour desceller le policier pourri entre les traits graciles d’une jeune fille aux cheveux presque blancs et au printemps de sa vie. Derrière tes cheveux tellement aryens qu’ils en raviraient plus d’un somnolait la silhouette en parfait noir de l’officier des Misérables. Celui qui mord en fermant les yeux. Et qui poursuit. Là est sa seule fonction. Comme si toi aussi, tu étais condamnée, non pas à la guillotine, mais à un destin tout aussi fédéré. Sans que tu ne puisses rien y faire. Comme un vulgaire méchant d’histoire. Même lorsque tu avais cru casser ton quotidien en partant à la recherche de ton nouveau Jean Valjean, tu ne faisais qu’imiter bêtement ton prédécesseur. On aurait presqu’eu pitié de toi, si seulement tu nous avais permis de l’être. Oh, il y en a bien un qui n’a pas pris le soin de te demander la permission. D’un autre côté, au départ, cet homme, tu aurais dû en faire ton modèle. Ce que tu as sans doute fait, au tout début, quand tu ne lui étais pas encore tombée entre les doigts, afin qu’il te tresse des fils incassables, des liens qui vous uniraient, pour le pire et l’encore plus pire.

Tu avais alors dix-huit ans, dernière ligne droite du lycée, baccalauréat dans la ligne de mire, et faculté de droit juste derrière, cachée comme une princesse en haut de sa tour. Tout suivait son cours. Tu étais fin prête à en découdre avec ton diplôme, et faire des mains et des pieds pour te dégoter une fac convenable. C’était toujours comme ça, avec toi. Tout devait apparaître comme un combat constant. Comme si ta seule amie était la guerre. Et ta maîtresse la justice. Et, apparemment, Hugo ton auteur. Lui, c’était l’homme à connaître pour tous les trublions qui s’engageaient dans la voie du droit. C’était un peu, votre légende urbaine à vous. Bon, pour toi, c’était vraiment une légende urbaine, à tel point que tu ne savais même pas à quoi il ressemblait. Une vague idée de l’homme dans la force de l’âge, peut-être barbu, et bedonnant, car il gagnait bien sa vie … Si, si, tu en avais la certitude. La certitude que tu n’avais pas, c’était que tes parents allaient passer la fin de leurs jours ensemble. En effet, ils étaient infiniment plus stressés que toi, et ça se faisait sentir. Non pas contre toi, mais entre eux. Et, ainsi que l’affirment les petits malins, comme la principale cause de divorce est le mariage, ils en sont arrivés à là. Tu as dû passer par la désagréable phase de l’annonciation. Tu ne te sentais pas concernée, pour dire que tu n’en avais rien à faire. Cela faisait bien longtemps que tu avais relégué tes parents au rang de logeurs potentiels. Bien évidemment, ça t’embêtait que ta vie quotidienne soit ainsi chamboulée. Néanmoins, ce bombardement n’allait pas en rester là.

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Premier impact : la visite chez l’avocat. Pas n’importe quel avocat. Le bedonnant à la barbe. Le nom inscrit en or sur tous les carnets de visite. La super star des facs de droit. Et c’était chez lui que tu allais avoir la honte d’étaler la séparation de tes piètres parents. Même s’il n’en avait cure, tu voyais bien la réputation. D’un autre côté, c’était le moment de saisir ta chance, de le tirer par la barbe afin de lui demander, pourquoi pas, conseil. De manière détournée, bien sûr, tu ne voulais pas paraître comme une lèche-botte, même si cette réputation-là te suivait depuis le berceau.
Second impact : la rencontre de l’avocat. Première destruction du mythe. Aucune barbe à laquelle s’accrocher pour lui faire cracher le morceau. Aucun gros ventre témoignant d’une vie comme un festin. Les diplômes, les signes de richesse, mais autour d’un visage incroyablement jeune. Et des cheveux sombres. Et une silhouette que tu aurais pu facilement casser, avec une prise de combat. Il était doué, ça ne faisait aucun doute. Il te donna des conseils, sûrement ceux qu’il balançait à tout jeune qu’il rencontrait derrière lui, envieux de suivre chacun de ses pas.
Troisième impact : l’impact qui n’aurait jamais dû être là. Toutefois, il n’en resta pas là. C’était comme s’il prêtait une attention particulière à ton existence. A tel point qu’on eut dit que sa vie était en jeu. En plus de te conseiller, il t’exhorta à l’accompagner dans son université, qui ne devait pas être la plus mauvaise. Mais aussi, il s’informa sur ton caractère, et ta vision de la justice. Dans le mille. Tu trouvais ça un peu trop facile. Toi qui avais toujours eu l’habitude de mordre pour te faire une place parmi les chiens sauvages, voilà qu’on te proposait une laisse en argent et une écuelle de diamants.

Tu ne pouvais refuser. Quand bien même tu possédais une fierté digne du pire des machistes –après tout, Javert n’était pas réputé pour sa galanterie-, cette chance ne passerait qu’une fois. Tu t’es donc accrochée à elle, y enfonçant bien les crocs, battant tes jeunes ailes de dragon. Sans penser à ce qu’il allait te demander en retour. Rien de bien honteux. Juste un tant soit peu dérangeant. Ce n’était pas vraiment une demande. Plus une déclaration, une certitude aux yeux de l’homme. Une certitude qui te faisait sienne. Tu étais son personnage. Il était ton auteur. Tu as eu une mine affreusement blasée à ce moment-là de l’histoire. Cependant, tu devais ménager ton humeur, car tu avais bien sûr entendu parler de ces rôles. De ces liens auteurs-œuvres. Alors, pourquoi pas toi ? Le seul détail qui t’importunait, c’était que tu savais à peine qui était ce Javert, rôle auquel tu prétendais. Il ne devait pas être bien important. Même si Hugo manifesta dès lors d’un harponnage digne du pire des stalkers sur ta personne. Avec toute la délicatesse et la classe d’un homme qui manie les mots. Pas comme toi, en somme. Ainsi, il avait su jouer avec toi pour t’entraîner dans son antre superbe. Les allers et retours chez papa et maman commençaient à t’ennuyer. Et puis, tu ne pouvais être on ne peut plus pistonnée. Il fallait juste tolérer les longues séances de lecture des Misérables et le bourrage de crâne de l’avocat. Mais ça, c’est une autre histoire …


Le Retour à la terre

J'avais entrepris une lutte insensée ! Je combattais la misère avec ma plume.
▬ Balzac
Pseudonyme : Carapace, ou Gao.
Sexe : Javerte
Âge : Pouce
Source de l'avatar : Prussia Female, Axis Power : Hetalia
Comment avez-vous découvert SQE ? Chien-chien de Victor Hugo.
Des questions, des réclamations ? Nothing else matter.
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Mallory C. Polypheme
Mallory C. Polypheme
ADMIN — L'œil du Cyclope
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Âge : 30
Messages : 345
Date d'inscription : 28/11/2011

Personnage Incarné : Polyphème
Surnom : Cyclope
Préface de Cromwell : Dans l'oeil du Cyclope

VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE
Âge : 23 ans
Métier : Informateur, Berger
Que pensez-vous de Noctem ? :
Moi, ch'uis qu'un chien d'sa mère, et un personnage secondaire - Javert Empty
MessageSujet: Re: Moi, ch'uis qu'un chien d'sa mère, et un personnage secondaire - Javert   Moi, ch'uis qu'un chien d'sa mère, et un personnage secondaire - Javert Empty25.03.12 11:28

HOLA Y BIENVENIDO EN SQE

La meuf, son nom c'est celui d'un dragon dans Harry Potter. Allo quoi.
LET ME LOVE U !!!!

Fiche validée et n'oublie pas de passer LA ou Noctem fera Accio Firebolt et te lattera laggle
 
 

Moi, ch'uis qu'un chien d'sa mère, et un personnage secondaire - Javert

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