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 Je veux être enchaîner à mon maître.

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Julia C. Skèr'S
Julia C. Skèr'S
« we didn't start the fire »
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Date d'inscription : 22/06/2012

Personnage Incarné : Cerbère
Surnom : Ju'.

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MessageSujet: Je veux être enchaîner à mon maître.   Je veux être enchaîner à mon maître. Empty25.06.12 22:19

Un début dans la vie

Dites-vous bien que la littérature est un des plus tristes chemins qui mènent à tout.
▬ Breton
Je veux être enchaîner à mon maître. ImagecerberePersonnage Incarné : Cerbère.

Nom, prénom(s) : Skèr'S Julia.
Surnom : Ju', Clèb.
Âge : 28 ans.
Métier : Gardien de nuit.
Camp : J'ai toujours été pour le Grand Méchant dans l'histoire.


La Débâcle

Celui qui n'a pas peur n'est pas normal ; ça n'a rien à voir avec le courage.
▬ Sartre


NOCTEM! Ca roxx comme nom, vous trouvez pas ?! J'suis supra-top-méga-contente de bosser- euh... -D'avoir été choisis par lui. Vous vous rendez compte ce que ça signifie ? Je moisissais en Enfer depuis des lustres! J'en avais ras-le-pompom comme y dit, l'autre là, celui qui remplissait ma gamelle... Mais si! Le mec, avec les cornes... Non ? Bon, c'pas grave.
Puis, de toute façon, j'ai toujours été pour le Grand Méchant dans l'histoire, je vais pas changer de camps. Après tout... Un rêve est un rêve et Noctem nous donne une seconde chance non ? Il faut jamais rechigner les secondes chances... J'en sais quelque chose. Il a brisé enfin mes chaînes! Yo! MEC! Tu te rends compte ? Des chaînes vieille de plusieurs MILLÉNAIRES! Alors, ouaip mon gars, je suis pour Noctem. Il m'a donnée un nouvel endroit... Un nouveau but... Une nouvelle chance. Je suivrais ma voie. Je trouverais l'endroit que je dois garder et je deviendrais le chien de garde. J'ai toujours été bon dans ce rôle, je t'assure! Je suis p'tète gringalette comme ça, au premier coup d'oeil, mais faut pas s'y fier... J'ai un super crochet du droit!
J'ai décidé de mettre mes crocs au service de Noctem. C'est le seul qui a pu me sortir de mon trou. Je serais le chien-chien du Grand Méchant, comme d'hab'. Je trouverais mon maître, je le servirais, je garderais l'endroit où les vices se payent, où les déviances deviennent fardeaux. Je deviendrais le Gardien de l'endroit qui ressemblera le plus aux Enfers. Je me battrais. Je suis un gentil clébard, moi, dés qu'on me remplit ma gamelle et qu'on m'attache au poteau, suffit qu'on mette "Attention Chien Méchant" pour prévenir, je m'occupe du reste.
L'Seul truc c'est que... J'aime pas trop travailler en équipe. Je sais pas moi. J'ai toujours taffé seule, je vois pas pourquoi je m'encombrerais! Je suis la meilleure dans mon petit rôle, j'ai toujours kiffé la petite mélopée de la solitude et les paroles de mes super-copines dans ma tête. Je préfère... Chais pas, rester à l'écart tu vois ? Enfin, p'tète que c'est pas super limpide comme situation mais... J'aime pas trop non plus l'idée de me trouver un nouveau maître tout-tout de suite. Je préfère attendre un peu, flâner, gambader, courir la langue au vent... Alors je suis un peu à l'écart, je préfère laisser les choses venir et si la fatalité veut que je tombe la truffe sur mon maître... Ben, tant pis! Ma liberté sera mise au placard pour la servitude la plus totale au nouveau gu-guss qui me servira de maître... C'est déprimant, un peu. Je me bats pas trop pour les convictions toussa... Je préfère laisser les autres parler, moi, la langue... Bof. Je sais grogner, bouger la queue, faire des léchouilles, avoir une bonne bouille quoi! Parler, les discours... Je trouve ça un peu malsain. Y a trop de mots, c'est TROP compliqué! Tu vois ?! Je préfère mener mon petit bout de chemin, là, tout seul, dans mon petit coin... C'est plus fun.
Mais... Euh... En fait... Comment dire... Hé! Rigole pas hein mais... Genre, tu vois, je pense que... Je devrais pas trop me mettre à l'écart. J'ai peur qu'on me voit plus... J'ai peur que mon Maître, il me trouve pas... J'ai peur qu'on décide que je suis plus à la hauteur pour la tâche que le Destin depuis l'origine des temps m'a donnée... J'ai terriblement peur de me réveiller un matin: inutile, las, sans collier, errant, éternellement... Je veux trouver mon maître, savoir ma place et... Voilà. Je veux pas finir... Errant. Un chien errant, ça crève tout seul, dans son coin... Sans rien dire, on a même pas le droit de se plaindre.
Alors... S'il te plaît... Si tu trouves mon Maître, tu veux bien lui dire de me trouver ? Je veux pas trop attendre... Non, plus. La liberté c'est beau hein... Mais... Quand on est habitué à porter un collier, quand on a en a plus, on se sent... Nu.


Le Temps retrouvé

La vie est un voyageur qui laisse traîner son manteau derrière lui, pour effacer ses traces.
▬ Aragon

La banlieue.
C'est ton mode, un peu crasseux et très sombre. Il y a des bruits, il y a de la vie... Mais une vie lasse, qui se débats avec moins de force chaque jour qui passe. Ca fatigue de se battre et tu en as marre, toi aussi, de te battre. Y a les petits cons du sixième qui joue au foot, là, sous ta fenêtre du douzième étage. Tu t'es posé sur le rebord, les bras croisés, la tête posée non-chalament, tu regardes niaisement les nuages et t'imagines des formes amusantes, pour te sortir du quotidien. T'as la tête lourde de problème, d'ennuis, d'emmerdes... T'as même pas la vingtaine et t'es dans la merde jusqu'au cou. Enfin, non, pas tout à fait... T'as un job, un bon job, on se plaint jamais de toi et généralement on te félicite même. T'es gardien de nuit au Bloc's. Une boîte de nuit miteuse et douteuse encastré entre deux grands bâtiments tout aussi crasseux et miteux. Tu sais jamais trop quoi penser de cet endroit, mais le patron est sympa avec toi, alors tu restes. Tu continues à protéger, tu gardes.
T'es un chien. Un bon chien. Tu l'as toujours su de toute manière. Dés que t'as ouvert tes yeux, poussé ton premier cri dans cette vie étrange et fatiguée s'endormant sur place - de préférence sur le périphérique pour qu'elle crève plus vite -, tu l'as su à la minute même où tu as rêvé pour la première fois, où t'as fermé tes yeux pour embrassé Morphée. Tu l'as su.
Toi. T'es Cerbère. Toi. T'es le chien-chien des Enfers. Toi. Tu bouffais des âmes quand ça te chantait et Lucifer remplissait ta gamelle et ta rancoeur. Toi. T'étais une terreure, un véritable mythe, une légende vivante et palpitante. On se pissait dessus en te voyant. Toi. T'étais immense, trois têtes, massives, des gueules remplis de crocs, de la bave qui glissait, ton grognement était effroyable, pire qu'un orage d'hiver avec le cortège et la symphonie des éclairs. Tu faisais trembler les murs des Enfers quand tu grognais. Toi. T'es Cerbère.
T'aimerais bien que cette idée-là se taise un peu d'ailleurs. Parce que t'aimes pas trop le rôle que t'as. Tu es un chien... Un bon chien. Malgré que tu sois une femme, t'as jamais trop accepté cet état-là. T'as essayé d'aimer, t'as essayé de te mettre un peu en valeurs... T'as essayé. Ca a pas trop marché. Le premier gars, c'était un bon élève, un petit mec de ton école primaire. Il était blond, il avait les yeux marrons - très sombre - il était mignon. Il t'ensorcelait. Toi t'étais un peu à la ramasse et lui savait tout sur tout... C'était amusant, alors, t'as essayé de l'aimer, tu le regardais de biais, tu le dévorais comme tu mâchouillais tes crayons. Tu voulais vraiment qu'il te voit, t'observe, se rende compte que... Tu étais là, dans le paysage et que tu étais belle. Ca a pas trop marché... Il t'as vu, des années plus tard, t'étais au collège et tu continuais à ramer côté cours. T'aimais pas ça, d'ailleurs, c'était bien lourd ces conneries... L'histoire, le français, ce blabla ça te parlait pas plus que ça. Lui il a rigolé, une fois, en cours, quand t'étais interrogé alors que tu dormais au fond de la classe, la place à côté du radiateur, la meilleure, là où y a le plus de chaleur. Tu as rougis, tu as trituré une mèche de cheveux, tes cheveux noirs, tu as regardé tes pieds, et tu n'as pas pu parlé. Les syllabes s'entrechoquaient dans ton esprit, ta bouche elle voulait rien faire sortir et tu restais silencieuse alors qu'il riait. Tu as commencé à lui parler, comme ça, hop, deux-trois mots chaque jour. Puis plus. Tu lui as montré que tu valais quelque chose, en sport, au moins, t'étais la meilleure! Petit à petit, vous vous êtes rapproché, dans la banlieue, de toute façon, tout le monde se connait. Il habitait le bâtiment en L. Le cinquième étage, l'appartement 304. Il habitait avec ces parents, des allemands, qui tenait un petit boui-boui bizarre avec des plantes à vendre. T'as commencé à le voir après les cours, à courir sur le terrain de foot, à l'écouter parler de choses, tu savais pas trop de quoi il parlait, mais t'aimais le son de sa voix. T'aimais qu'il t'adresses la parole alors tu lui demandais de parler, de tout, de n'importe quoi, tu t'en fichais, du moment qu'il parlait. Tu lui as appris à jouer aux jeux vidéos - tu gérais à ce truc-là - tu lui apprenais ce que tu pouvais, pour qu'il reste avec toi. Qu'il te voit, Toi et uniquement Toi. Ca a pas trop marché. Il a commencé à voir des filles, des vrais, de celles qui se maquillent, qui s'habillent moulant et court, qui montrent des seins.
Toi t'es toujours une planche à pain. Une planche de surf à la limite. T'as de jolis hanches - fines, arrondis -, t'as un petit minois aux traits fins - un nez retroussé, des pommettes douces, des lèvres pulpeuses mais pas trop -, des cheveux noirs, épais, toujours en bataille, indomptable - comme ton foutu caractère -, t'as des épaules fines, une taille gracile, des petites fesses rebondis, mais côté poitrine... T'as pas tiré le bon numéro de soutif pour attirer ceux sur lequel tu jetais ton dévolu. Peu à peu, jour après jour, alors que le temps passait et qu'il désertait ton horizon, t'as pété une méchante crise existentielle! Tu as mis à la poubelle ta petite personnalité bien trop gentille, bien trop docile, bien trop timide. T'as changé. Du jour au lendemain, t'as chaussé les chaussures des grands, t'as chipé un débardeur à ta mère, une chemise à ton grand-frère, t'as transformé ton jean préféré en un short ras-les-fesses et t'as filé dans le reste de ta vie dans ce genre de tenues. Tu as commencé à t'intéresser aux trucs de filles... Le maquillage, les cheveux, les fringues, les garçons. Tout ça pour le blondinet là, l'allemand aux lunettes rondes et son sourire à tomber par terre. T'as traîné des pieds dans des trucs pas net. T'as appris à rouler tes premiers pets, t'as bu tes premières bières, t'es devenue une petite fille facile de la banlieue ouest, celle qui habite au douzième avec sa mère, son père, son grand-frère et le Grand Barbu (ton grand-père qui gueule tout les soirs contre les jeunes trop braillards). Tu t'es fais connaître comme ça, parce que tu sortais tard le soir, t'allais dans les coins sombres.
Le Blondinet, lui, ça a pas coupé. Une fois, tu l'as croisée, au bras d'une fille, une midinette, qui faisait trois bonnets de plus que toi, qui avait étalé son pot de peinture sur la figure. Il avait la langue par terre tellement il était à ses pieds. Tu as pas aimé, vraiment pas. Tu en as eut marre. Marre d'aimer ce petit blond, ce petit allemand de rien, avec ces parents qui vendent des plantes bizarres - il paraît que ça soigne les gens. Il était rien, un petit blond, c'est tout, rien de plus! Il pouvait pas t'aimer, il te voyait déjà plus, il te connaissait plus. Alors t'as pleuré.
Toi. Cerbère. T'as pleuré. Parce qu'on te voyait pas, parce qu'il te voyait plus. Parce qu'il avait choisis une autre pour exister à ces yeux. T'as enterré ce chagrin, cette peur atroce, cette angoisse mordant ta carcasse, à travers les années. Tu voulais exister. Tu voulais briller aux yeux de celui qui devait être ton Maître, celui que tu aimerais au-delà de tout, plus que tout, celui que tu aurais choisis pour avoir le suprême pouvoir de te mettre un collier autour du cou. Tu voulais... Juste... Aimer.
Ca a pas marché. Ni avec ceux que tu as pris dans tes bras, dans tes draps, à la suite de tout ça, pour te réchauffer un peu le coeur et l'âme. Ils étaient rien, rien du tout. Ils avaient de la gueule, oui, mais dans le pantalon c'était une autre histoire... La plupart était des petits-paumés - comme toi - qui cherchait un but, c'était des chiens errants.
Toi. T'es Cerbère, tu es pas un chien errant, tu traînes pas avec les chiens errants. Tu les jertais de ta vie. Tu les poussais à la crise de nerf. Tu tapais tes crises, tu jetais leurs vêtements du douzième étage, tu criais, tu hurlais, tu frappais... Ton maître n'existait peut-être pas ? Cruelle image! Tu es devenue colérique, sang chaud, tu partais au quart de tour, tu t'es même tondu la moitié du crâne sur un coup de tête, une fois. Tu as coupé tes cheveux long, tu en as fais une tignasse trop courte, tu as coloré une mèche en rouge, une autre en bleue, une troisième en rose. Les deux dernières n'ont pas tenu, tu les as jamais refaite, le rouge est resté, une marque de fabrique peut-être. Puis, sans t'en rendre compte, t'as quitté les âges ingrats, les passades mode montagne-russe, le parc d'attraction émotionnel. T'as quitté tout ça, comme un voleur, sans dire au revoir, sans saluer ton public.
T'as pris une claque, tout bêtement, tout simplement. T'es tombé de ton petit monde, là-haut, au douzième étage de la banlieue ouest. Tu t'es éclaté la gueule sur le béton, t'as morflé sur le trottoir, sérieux, ce sol-là, t'aurais jamais voulu l'embrasser comme t'as fait. Cerbère. T'as perdu de ta superbe. Parce que y a des types, là, qui en voulait à ton grand-frère. Tu rentrais d'une petite partie, dans le parking de la banlieue nord - pas loin, mais quand même - ces gars-là, il voulait la peau de ton grand-frère. Ces gars-là, ils savaient que t'étais sa frangine, sa petite chose, t'étais sa famille - parce que ton père buvait, parce que ta mère déprimait, parce que ta maison c'était un bout de cauchemars vivant et agonisant dans les ombres, seul, loin de la lumière - et ces gars-là, ils t'ont pas loupés.
Cerbère qui protège. Cerbère qui défend. Cerbère le gardien des Enfers. T'es tombée bien bas à ce moment-là. La gueule contre le trottoir, tes cris dans le noir. Ton nez un peu remonté, cassé en une droite. Deux côtes cassés. Le bassin dévié. Une vertèbre déplacé. Et une double-fracture du petit doigt. On t'a laissée sur le béton. On t'a laissée-là, parce que t'as dit « Un grand-frère ? Non, mais, vous m'avez regardée les mecs ? J'ai pas de grand-frère et j'habite pas au douzième. Je suis la gamine du seizième! La fille de Mme. Akih. »
Ils t'ont pas cru. Ils t'ont battu. T'as pas pu courir. T'as pas pu fuir. Tu te souviens juste du bourdonnement dans tes oreilles, des lumières qui clignotent, et des urgentistes qui te hurlent dessus: « Ca va ? Oh! Gamine! Ca va ? » Quel spectacle. Atroce. Ignoble. Indigne.
Trois jours à l'hôpital. Un mois sans cours. Un mois sous ta couette, à trembler dés que la lumière s'éteint. A ne plus ouvrir ta fenêtre. A ne plus rien voir, plus rien entendre. Ta vie social s'effondre.
Et puis, de toute façon, ton frère, ils l'ont eut deux semaines plus tard. Ton petit monde, que tu devais protéger - tu sais hein, ta destinée. Garder. Tout ça... Non ?! - éclate, implose.
Tu sombres. Tu te vides. Te perds. Tu sais plus trop...
Puis, te voilà. Arrive la vingtaine sans que tu t'en rends compte. Tu t'es relevé, redressé, t'as repris les rennes. T'as quitté la banlieue. T'as quitté cette vie qui se débats il y a déjà trois ans de ça. T'as laissé la grand-mère s'endormir sur le périphérique et éviter les voitures - et les camions - par pur chance. T'as laissé ta réputation de fille facile du douzième. T'as laissé ton corps de femme, aussi, là-bas.
T'as ramassé tes crocs, tes chaussures, ta veste avec de la fourrure blanche que t'adores, et t'es allé vivre près du Bloc's. Un appartement pas trop grand, pas trop petit, pas trop lumineux et pas trop sombre. Un petit coin. Une niche à toi.
T'as quitté la banlieue et tu cherches, de nouveau, un peu, ton Maître. Tu as renoué avec ton destin, avec ton passé un peu farfelue: Noctem il t'a choisit, il t'a remit à Cassandre pour trouver ton Maître. Être le gardien de quelque chose, de quelqu'un... Alors tu cherches, la truffe au vent, la queue en l'air. Tu cherches. Tu as quitté tout ce qui pouvait t'entraver, tout ce qui pouvait te détourner.
Tu cherches simplement ton Maître. Tes Enfers.
Parce que tu es Cerbère.


Le Retour à la terre

J'avais entrepris une lutte insensée ! Je combattais la misère avec ma plume.
▬ Balzac
Pseudonyme : Euh... .w. Ouaf ?
Sexe : J'ai une poitrine. J'suis donc une fille ?!
Âge : Des années lumières 8D. /PAN/
Source de l'avatar : Omi Par Kirupot
Comment avez-vous découvert SQE ? Par pur hasard. Je flânais sur le web et il m'a tapée dans l'oeil .w. Comment résister à un endroit où on peut croiser Baudelaire, Hugo, toussa ? \0/ (Lamartine, y es-tu ? ;w;) /PAN/ Désolée... Je suis une honteuse groupie T.T
Des questions, des réclamations ? BWAHAHAH. 8D /PAN/
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Mallory C. Polypheme
Mallory C. Polypheme
ADMIN — L'œil du Cyclope
ADMIN — L'œil du Cyclope
Âge : 30
Messages : 345
Date d'inscription : 28/11/2011

Personnage Incarné : Polyphème
Surnom : Cyclope
Préface de Cromwell : Dans l'oeil du Cyclope

VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE
Âge : 23 ans
Métier : Informateur, Berger
Que pensez-vous de Noctem ? :
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MessageSujet: Re: Je veux être enchaîner à mon maître.   Je veux être enchaîner à mon maître. Empty03.07.12 16:18

Willkommen !

Azy là. Comment j'aime bien Cerby. Et puis c'est bien, elle parle comme Mallory, enfin quelqu'un qui va le comprendre !!
Bref, tout bien, je te valiiiiiiiide.
 
 

Je veux être enchaîner à mon maître.

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