Forum en hiatus le temps qu'on se reprenne les couilles en main trololo
« Un jour j'arrêterai de placer des métaphores dégueulasses ici. Ce jour là, SQE renaîtra. » - Batman
Le Deal du moment :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot ...
Voir le deal

Partagez | 
 

 Marla I. Serrano - Méprise moi d'amour, je t'aimerais de haine.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Marla I. Serrano
Marla I. Serrano
« we didn't start the fire »
« we didn't start the fire »
Messages : 43
Date d'inscription : 13/03/2012

Personnage Incarné : Inès Serrano, de Huis Clos by Sartre
Surnom : Ire
Préface de Cromwell : Méprise moi d'amour, je t'aimerais de haine.

VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE
Âge : 28 ans
Métier : Officier de l'armée (Lieutenant)
Que pensez-vous de Noctem ? :
Marla I. Serrano - Méprise moi d'amour, je t'aimerais de haine. Empty
MessageSujet: Marla I. Serrano - Méprise moi d'amour, je t'aimerais de haine.   Marla I. Serrano - Méprise moi d'amour, je t'aimerais de haine. Empty18.03.12 22:35

Un début dans la vie

Dites-vous bien que la littérature est un des plus tristes chemins qui mènent à tout. 
▬ Breton
Marla I. Serrano - Méprise moi d'amour, je t'aimerais de haine. Marla_14Personnage Incarné : Ines, de Huis Clos écrit par Sartre

Nom, prénom(s) : Serrano, Marla Ines
Surnom : Ire.
Âge : 28 ans
Métier : Officier de l'armée. Lieutenant, pour être précis.
Camp : Elle ne se rebelle pas, si c'est ce que vous voulez savoir. Et oui, elle travaille pour lui.


La Débâcle

Celui qui n'a pas peur n'est pas normal ; ça n'a rien à voir avec le courage. 
▬ Sartre


Noctem et vous : Noctem n'est pas à proprement parler quelqu'un que Marla apprécie. On peut même dire sans trop se tromper qu'elle le hait de toutes ses forces. Oui, c'est peut être même une des personnes qu'elle souhaite le plus voir mourir, au fond. La jeune femme nourrit une rage terrible, contre lui. Elle le sait, et ne s'en cache pas vraiment.
Votre camp et vous : Un camp ? Bof. On ne peut pas vraiment dire qu'il y ai de camp. Ils sont touts humains, tous fautifs. La sainteté ou la pureté n'existe pas, peut-on alors parler de camp ? Il y a simplement ceux qui fuient la réalité en se rebellant, et ceux qui assument.
Votre degré d'engagement : Marla fait son travail avec zèle. Oui, elle ne supporte pas Noctem et si elle pouvait le voir crever, ce serait avec du pop corn qu'elle savourerait le spectacle. Pourtant, elle accomplit sa tâche avec sérieux. Marla a le sens du devoir, que voulez-vous. Il faut savoir séparer le professionnel du personnel.
Votre plus grande peur : La perdre et la garder : Rose. Il y a un adage qui dit qu'on fait du mal à ceux qu'on aime, mais il oublie de dire qu'on aime ceux qui nous font du mal.


Le Temps retrouvé

La vie est un voyageur qui laisse traîner son manteau derrière lui, pour effacer ses traces. 
▬ Aragon

Tu ouvres tes yeux sur le monde, et tu le trouves laid. Oh, si laid ce plafond terni par le temps, si laids ces carreaux usés et fades à souhait ! Si laid aussi, ce néon blafard qui t'aveugle et t'agresse dès ton arrivée. Des ombres se penchent sur toi, te portent et te manipulent comme un objet fragile. On te nettoie, on te frotte. Oh, que tu es sale, petite chose ! Et tu vois des regards, trop, partout. Trop nombreux, ces orbites fiers ou professionnels qui te scrutent comme une étrangeté et t'agacent. Tu ouvres les yeux sur le monde, et déjà, tu veux repartir.

Marla, elle a grandit dans une famille structurée, stable, et organisée. Le genre de famille dans laquelle l'autorité suprême est détenue par le paternel, qui a toujours un avis sur tout. Et un avis pertinent, cela va de soi. Ici, pas question pour ce cher monsieur de faire n'importe quoi, il faut aborder les choses avec lucidité et pragmatisme. Monsieur est haut gradé dans l'armée, monsieur est Général s'il vous plait. Alors respect, et procédons avec méthode. Avant toute chose, demander le droit à la parole. Puis, baisser la tête par déférence. Et enfin, s'exprimer avec concision et efficacité. Bien évidemment, parler pour ne rien dire est exclu, il faut des éléments pertinents qui justifient ce droit. Avec un tel caractère, on comprend que madame Serrano soit plus effacée que son cher époux, qu'elle n'a au fond épousé que pour arranger sa famille. Et aussi pour avoir une vie tranquille, avouons le.

Marla comprend vite qu'il faut que la parole soit utile. Que toute action soit réfléchie et valable avant d'être effectuée. Et à ce niveau là, elle est la fille de son père, c'est évident. La petite, depuis son plus jeune âge, compense la faible possibilité de s'épanouir par une observation systématique de ce qui l'entoure et des gens qu'elle croise. Souvent, son visage grave interpelle et dérange. Quoi, que veut-elle, à nous fixer ainsi ? Au début, l'enfant blonde se tait et observe chaque chose, chaque personne. Elle engrange tout, comme une caméra humaine. Ses prises de paroles sont laconiques, ce sont davantage des apports d'informations purement fonctionnels qu'autre chose.. Ah, ça... Elle n'est pas frivole, c'est le moins que l'on puisse dire. C'est d'ailleurs un sujet de frustration pour sa mère, qui se voyait déjà pouponner une petite princesse et l'habiller de froufrous avant de jouer avec sa pâle crinière. Mais non. Marla Ines Serrano n'est pas de cette étoffe là.

À l'école, c'est une élève brillante mais difficile à cerner pour ses enseignants. Non, elle ne fait pas de vagues, ses devoirs sont rédigés avec soin, et elle ne fréquente pas les cancres dans la cour de récrée. Mais son attitude froide perturbe, et sa franchise abrupte déstabilise. Parfois, avec logique, la fillette pose des questions inattendues qui prennent de court ses professeurs. Mais le plus souvent, elle se tait et observe, se contentant de parler lorsque c'est nécessaire. Et puis, elle lit, Marla. Solitaire, les livres prennent une grande place dans sa vie. Des ouvrages à propos de tout, de rien, elle n'est pas discriminatoire : cuisine, romans, thrillers, récits historiques ou même essais philosophiques... La petite Marla assimile tout à un rythme effrayant, n'en laisse pas une miette, et se forge ainsi ses propres opinions sans rien demander à personne. Grâce aux livres, elle fait le tour du monde depuis sa chambre. De son vécu personnel, la demoiselle en tire quelques conclusions. ”Les forts dominent, les faibles obéissent.” Puis une autre, qui est comme un corollaire. ”Les Forts doivent montrer l'exemple aux faibles.” Les ”forts” dans la tête de la petite blonde, ce sont ces gens solides qui assument leurs actes et leurs pensées. Qui assument leurs natures elles même, en fait. Ceux qui ne fuient pas, ceux qui ne nient pas, et ne détournent pas le regard lorsqu'on met en lumière quelque chose d’embarrassant. Les ”forts”, ce sont ceux qui se tiennent droit et accomplissent ce qui doit être fait, même s'il faut pour ça se salir les mains. Et les ”faibles”, ce sont tous les autres, qui renâclent, refusent d'admettre l'évidence et préfèrent les œillères. Une fois cette morale personnelle intégrée, une conclusion évidente s'impose à la jeune fille.

Je veux être forte.

Marla a douze, quinze, dix huit ans. Marla grandit et murit. Marla prend de l'assurance, aussi, et ose afficher cet aplomb qu'il semble délicat d'ébranler. Elle n'est pas comme eux, ne se cache pas, ne se voile pas la face. Peu à peu, elle se détache de l'exemple paternel. Au fond, il lui a juste permis de faire ses armes. Et c'est bien, c'était utile. La franchise acide de la jeune fille, sa lucidité presque douloureuse se développent et font corps avec la jeune fille. C'est désormais un de ses principaux trait de caractère : on ne la lui fait pas, à elle. Vous aurez beau vous cacher, elle vous verra. Et assez vite, cela la dégoute.

Oui, toi là, tu la dégoutes. À force de te cacher, de vouloir masquer la vérité. Assume ce que tu es, assume ce que tu as fait. Pauvre larve qui se complait dans la victimisation à outrance. Au lieu de pleurer, agis. À force de vouloir devenir ”forte”, Marla fatalement développe une sorte de complexe de supériorité – tout en ayant conscience qu'elle est du même niveau que les autres. La différence, selon elle, ne tient pas à sa nature ou à son caractère. Les deux sont mauvais. Non, la nuance, c'est qu'elle même ne cherche pas à se justifier. Oui, la blonde aime mettre dans l'embarras les autres, les voir jusque dans les moments les plus gênant, les perturber. Elle le dit elle même, d'ailleurs. À ses camarades de classes, aux voisins, aux collègues, à qui veut savoir Marla s'exhibe sans honte ni crainte.

”Moi, je suis méchante, ça veut dire que j'ai besoin de la souffrance des autres pour exister.”

Dès sa sortie d'école, la jeune femme choisit de faire l'école des officiers, puis s'engage dans l'armée. C'est une jeune femme résolue. Sa carrure est loin d'en imposer, même si la demoiselle dégage un certain charisme. Côtoyer essentiellement des hommes ne la gêne pas outre mesure. En fait, non. Pour être franc, elle s'en fout totalement, de ces mâles en manque de testostérone et au machisme primaire. Ils ont beau prétendre avoir la fibre protectrice des peuples et autres conneries, la blonde le voit bien : pour la plupart, ils veulent juste avoir la plus grosse du quartier. Pathétique. Alors elle les rabroue et les met mal à l'aise lorsque ses yeux bleus les fixent sans gêne. Quand Marla vous regarde, c'est comme si elle vous voyait nu comme un ver, comme si vous n'étiez qu'un livre qu'elle peut consulter à volonté. Parce que Marla ne flanche pas, ne cille pas, ne lâche pas le morceau jusqu'à ce que vous détourniez le regard. Pour vous faire chier, et vous sentir emmerdés. Tout simplement.

La jeune fille n'est pas grande, non, ni baraquée. Mais elle est vive, et ses répliques acides. Dans son uniforme, elle en impose tout de même et ne se laisse pas facilement démonter. C'est surtout cette assurance qui interpelle. Plus d'un ont essayés de la faire flipper mais ils en ont étés pour leur frais. Au service postal, la jeune femme accomplit son devoir, mais déplore le manque d'action. Bah, tant pis. On ne fait pas toujours ce qu'on veut. Alors sa petite vie continue, et Marla s'ennuie. Que c'est fade, tout ça. Que c'est convenu.

Heureusement, il y a Flo. Florence pour les autres, Flo pour elle. C'est la femme de son cousin, mais peut importe. Elles s'entendent bien. Trop bien selon l'époux délaissé, mais tant pis. Au fond, Marla s'amuse de voir celui-ci tourmenté. Jaloux. Blessé. Et l'autre pauvre femme qui culpabilise. C'en devient attachant tellement c'est pathétique. Pauvre petite chose, impuissante et faible. La blonde s'amuse du désarroi de ces deux personnes. De leur incapacité à affronter qui ils sont. Elle même ne se fait pas d'illusion sur ce qu'elle est. Elle est lucide et 'a réalisé depuis longtemps. Au fond, elle s'en moque un peu. On est qui on est, tant pis. Mais la jeune femme trouve là dedans une catharsis à la terrible colère qu'elle nourrit en son fort intérieur. Au fond, elle ne sait même pas contre quoi elle est furieuse. Contre tout, probablement. Bah, qu'à cela ne tienne : cela lui donne une bonne raison de s'amuser de la débâcle des autres.

Et la vie aurait pu continuer longtemps, comme ça. Peu à peu, Marla monte en grade. On lui confie même des hommes à diriger. Si c'est pas beau les responsabilités. Avec ses hommes, Marla est égale à elle même : franche et intransigeante. Au fond, ils ont un peu peur de cette femme acide. On la respecte, oui oui. Mais elle est plutôt juste. Juste désagréable d'approche. Et puis, elle a la sale manie de capter tout de suite quand on ment : pas moyen de tricher, face à elle. Finalement, tant qu'on ne ramène pas trop sa fraise et qu'on fait son taf correctement, ça va.

Un jour, cependant, la miss est convoquée dans le bureau de son supérieur. Et pour se faire engueuler à cause d'un de ses subordonnés, en plus. Le message est clair : soit ce gaillard va dans les bordels de façon plus discrète, soit il finit au mitard et elle avec. Bordel. Quel con. Bien que ne pipant mot, l'attitude de la jeune femme en dit long. Ça la fait chier, tout ça. Mais au moins, on lui facilite les choses : pas la peine de chercher le fautif dans la base, il est au lupanar. C'est justement parce qu'il s'y trouve un peu trop souvent qu'en au haut on finit par s'agacer. Avec un petit sifflement agacé, Marla tourne les talons, blasée. Direction ce fameux bordel, puisqu'il faut en faire sortir le charmant monsieur, autant se débarrasser de la corvée de suite. Ça l'agace un brin, toute cette histoire. Marla n'aime pas se faire gronder, surtout pour les âneries d'un autre. Normal. Avec son regard glacial, son uniforme et ses armes de fonctions, les gens n'ont pas franchement envie de chercher la mouche. De toute façon, les militaires, on leur fout la paix. On ne sait jamais.

Pourtant, une fois sur place, Marla rencontre de la résistance. Par conscience professionnelle, on lui refuse l'accès aux chambres si ce n'est pas pour consommer. Tseuh ! Et puis quoi encore ! Ce n'est qu'après avoir assassiné du regard la gérante et promis de la foutre au mitard elle aussi pour apprendre à se décoincer que la jeune officier obtient gain de cause. Quelque peu sous pression, l'honorable femme lui montre la voie jusqu'à la dite chambre, avant de s'éclipser. Oui oui, si on a besoin de vous, on vous appellera. Ouvrant la porte sans faire de bruit, la blonde s'avance et observe sans gêne les deux amants qui n'ont encore pas réalisés qu'une tierce personne joue au voyeur. Il faut reconnaître ce qui est : ce soldat a des bons goût, il faut l'avouer. Après s'être régalé du spectacle quelques secondes en savourant d'avance la gêne que les deux allaient probablement ressentir, la militaire décide d'entrer en scène. Sans plus aucune discrétion, elle avance et saisit le jeune homme par la chevelure, le tirant en arrière avec force et l'envoyer rouler au sol sans aucun ménagement. Vive l'autorité. La catin de luxe la regarde, mais qu'importe. Marla a assez profité de la plastique superbe de cette femme, il est temps de faire son devoir. Et puis, l'effarement du soldat n'est pas sans lui déplaire.

-La fête est finie, Garcin. Si tu veux de la compagnie, trouve toi une femme à marier. Ça sera plus économique, et elle lavera ton linge en prime. Et si c'est juste pour baiser, sers toi de ta main droite. Maintenant, rhabille toi. On part.

Et Marla se campe solidement sur ses jambes et croise les bras pour toiser le pauvre homme qui décidément ne sait plus où se mettre et vire pivoine. Dos à la prostituée dont elle ne fait même pas attention à si elle réagit ou non, la blonde savoure de voir son subordonné se rhabiller, la queue entre les jambes. Dans tous les sens du terme. Une fois le bougre à nouveau en tenue décente, les deux militaires redescendent et rejoignent le camp où Marla fout son soldat un mois au mitard pour lui permettre de ”calmer ses hormones” et ”compenser le fric perdu par un régime plus frugal.”. Étrangement, depuis ce jour, le soldat n'est plus jamais retourné là bas. On se demande pourquoi tiens... Dommage. Marla aurait presque aimé le prendre sur le fait une fois encore. Pour le tourmenter à nouveau, et revoir la belle Rose.

Parc que Rose lui a tapé dans l'oeil, oui. Et pas qu'un peu. Elle a pu, un bref moment, admirer ce corps pour lequel elle se damnerais. Cette peau mortelle, cette bouche sensuelle, ces yeux à mourir. Oh, oui, Marla a conscience que cette femme causera sa perte et la fera souffrir plus qu'autre chose. C'est ce qu'on attend d'elle, d'ailleurs, de souffrir à son tour. Mais qu'importe, elle n'a pas l'intention de fuir. Parce que ça lui donnera l'occasion de la recroiser, de s'enivrer d'elle. Peut être même de la frôler et de la faire sienne. Rose est son poison, mais Marla aime sa saveur venimeuse.

De loin en loin, la jeune femme suit le parcourt de la belle. Elle apprend que celle-ci se fait entretenir par un sale richard, et immédiatement la blonde ressent une haine viscérale pour celui-ci. De la jalousie à l'état pur, du fiel venimeux, voilà ce qu'elle est à l'égard de cet empaffé. Il aura beau faire, jamais il n'aimera Rose comme elle l'aime. Toutes deux ne se connaissent pas ? Et alors, il n'y a pas besoin de ça pour aimer. Marla a trouvé son héroïne, qui l'asphyxie et lui permet de respirer dans un même temps. C'est un amour haineux, une tendre drogue qui la ronge et qu'elle sublime tout en sachant voir le dédain de la belle.

Il est temps d'aller à ta perte, ma belle, et de t'en enivrer.


Le Retour à la terre

J'avais entrepris une lutte insensée ! Je combattais la misère avec ma plume. 
▬ Balzac
Pseudonyme : Satan
Sexe : Platypusien
Âge : 23 ans
Source de l'avatar : Integra Hellsing, de Hellsing.
Comment avez-vous découvert SQE ? Un joli lapin blanc m'a montré la voie.
Des questions, des réclamations ? Nnnope, comme dirait Big MacIntosh.
Marla I. Serrano - Méprise moi d'amour, je t'aimerais de haine. Icon_Satan


(J'espère que cela ira comme présentation ;; N'hésitez pas à dire s'il y a des choses que j'ai zappé ou que je dois développer.)


Dernière édition par Marla I. Serrano le 21.03.12 19:19, édité 1 fois
 
Pétunia Œ. de Thèbes
Pétunia Œ. de Thèbes
ADMIN - The Original Motherfucker
ADMIN - The Original Motherfucker
Âge : 28
Messages : 354
Date d'inscription : 28/11/2011

Personnage Incarné : Œdipus Rex
Surnom : Fureur
Préface de Cromwell :
Je n'ai pas cru dès lors pouvoir laisser à d'autres le soin d'entendre votre appel, je suis venu à vous moi-même, mes enfants, moi, Œdipe — Œdipe au nom que nul n'ignore.
fichers


VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE
Âge : 24 ans.
Métier : Garçon de café, étudiant.
Que pensez-vous de Noctem ? :
Marla I. Serrano - Méprise moi d'amour, je t'aimerais de haine. Empty
MessageSujet: Re: Marla I. Serrano - Méprise moi d'amour, je t'aimerais de haine.   Marla I. Serrano - Méprise moi d'amour, je t'aimerais de haine. Empty21.03.12 15:35

... Tu m'effares. Comme tu disais avoir eu du mal à l'écrire, je pensais que ça se verrait, que ça se traduirait un peu à certains endroits, qu'il y aurait un bug de fluidité ou chais pas. Mais NON. MÊME PAS.
CETTE FICHE EST TROP BIEN.
CETTE FICHE EST VALIDÉE.

Par ailleurs, Noctem t'invite au bal du Carnaval de Cassandre, il veut a-bso-lu-ment t'y voir. Bien évidemment, rien ne t'y oblige, mais il n'est pas dit que les conséquences soit moindres si tu bafoues les désirs du Roi...
 
 

Marla I. Serrano - Méprise moi d'amour, je t'aimerais de haine.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Et le roseau courba la tête devant le chêne. Marla.
» Inonde le Marquis de ta haine. Rose
» ISEI GAKUEN — entre l'amour et la haine

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Sum quod eris. :: ORGUEIL ET PRÉJUGÉS :: La Comédie Humaine :: Voyage au bout de la nuit-