Forum en hiatus le temps qu'on se reprenne les couilles en main trololo
« Un jour j'arrêterai de placer des métaphores dégueulasses ici. Ce jour là, SQE renaîtra. » - Batman
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 astrée ▪ Le Deuil sied à Électre.

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Astrée E. Atride
Astrée E. Atride
« we didn't start the fire »
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Âge : 28
Messages : 63
Date d'inscription : 11/03/2012

Personnage Incarné : Electre.
Surnom : Astrid.
Préface de Cromwell : she said: “i wanna live like common people, i wanna do wathever common people do, i wanna sleep with common people, i wanna sleep with common people like you.”

VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE
Âge : 21 ans.
Métier : Étudiante.
Que pensez-vous de Noctem ? :
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MessageSujet: astrée ▪ Le Deuil sied à Électre.   astrée ▪ Le Deuil sied à Électre. Empty20.03.12 21:37

Bat-edit : CETTE FICHE EST FUCKING MINE. A MOI. MA MIENNE. MON ELECTRE. *fait kfff kfff et crache des boules de poils*


psychotic girl

▬ Électre est la plus douce des femmes.
▬ La louve Narsès était la plus douce des louves.
astrée ▪ Le Deuil sied à Électre. 001iaPersonnage Incarné : Électre d'Argos, L'Orestie - Agamemnon d'Eschyle (et autres).

Nom, prénom(s) : Astrée Atride.
Surnom : Astrid, par contraction de son nom et prénom.
Âge : 21 ans.
Métier : étudiante en droit.
Camp : idéologiquement contre.


she's thunderstorms

▬ Je ne connais pas mon secret encore.

Noctem et vous : c'est compliqué. (comme sur facebook) Mais on peut simplifier en disant qu'elle le hait.
Votre camp et vous : Astrée a toujours été une grande partisante du choix des habitants de Cassandre à choisir leur destin ; si virulente qu'on l'a soupçonnée d'être une Tin Soldier. Néanmoins elle se sent assez inconfortable par rapport à eux dernièrement ; depuis précisément qu'un choix personnel serait venu la faire douter de ses principes.
Votre degré d'engagement : irréprochable à priori, Électre est le type même de la militante toutes dents dehors et atrocement impliquée, à défaut de vie personnelle plus enrichissante.
Votre plus grande peur : la seule serait pour la vie de son frère.


this fire is out of control

▬ C’est la lueur qui manquait à Électre. Avec le jour et la vérité, l’incendie lui en fait trois.

Alors la fille, elle a eu une enfance pas trop dure, parce que Papa c’est un peu le roi des rois, grand PDG, vous voyez le topo. Sa mère, au moins, elle est assez contente. Elle est assez contente jusqu’à ce que Papa s’embrouille avec ses potes ; une histoire d’honneur, une histoire de fille, bref, il faut que tout le monde aille se taper la gueule avec tout le monde. C’est entre Papa et ses potes, une espèce de gang mafieux, et une autre espèce de gang mafieux à l’autre bout de la ville. La mère, elle a toujours trouvé ça con, mais elle dit rien, parce que si y avait pas toutes ces magouilles, son living room serait pas tout à fait le même et elle aurait plus les moyens de s’acheter un sac par mois. Alors elle dit rien. Jusqu’à ce que ce soit son beau-frère qui s’embrouille – la mère, elle a toujours dit que sa belle-sœur était une trainée – et qui ramène tout ce beau monde avec lui : donc, on revient au début, tout le monde va se casser la gueule. Le père, il laisse pas son frère dans les embrouilles, puis c’est toujours lui qui prend les initiatives dans la bande. Résultat, c’est toujours lui qui doit payer. Un jour, une nana super en colère qui se prétendait déesse de la chasse lui en a voulu pour une vieille offense, et sa fille aînée a failli y passer. La mère lui a jamais vraiment pardonné, ça. Depuis (ça fait longtemps), la fille aînée, elle est dans un privé religieux et elle en sort jamais. La mère, elle en veut au père. Le père, il s’absente beaucoup. Il a le boulot, et le soir, il fait des heures sups, et quand c’est fini, il va s’occuper des affaires de son frère, avec ses autres potes que ça arrange bien. Ça dure longtemps. La mère en a marre. Elle envoie son fils dans de la famille à l’autre bout du pays, il a beau être gamin, elle en peut plus : il lui rappelle trop le père. Reste plus que ses deux filles. Le père rentre de plus en plus tard. Il rentre de moins en moins souvent. Il ne rentre plus du tout.
La mère ne peut pas lui en vouloir. Il a de trop bonnes excuses. Il est parfait, il a la tête de l’emploi, le mari modèle. Il ne la trompe même pas. Il prend les choses en main. Quel héros, qui s’occupe de tant d’histoires de quartier. Son absence est comme la crevaison d’un abcès. La mère est soulagée. Elle a du temps devant elle. Elle prend un amant. C’est fou comme ça la déculpabilise, l’adultère. Elle peut enfin haïr l’image du mari avec toute la haine réservée aux femmes qui les trompent. Elle a bien choisi son type, hein, elle fait pas les choses à moitié : c’est son autre beau-frère, un espèce de cousin au lien indéfinissable – quelle emmerde, la généalogie, dans cette belle famille.

Il y a la fille et sa sœur. Les enfants bien sous tout rapport, la famille qui fait bien, les prénoms de bourges et les cheveux propres qui vont avec. Elles grandissent bien. Elles sont jolies et elles ont de bonnes notes. La mère est globalement contente. De la sœur surtout, parce qu’Astrée a terriblement mauvais caractère, mais bon. On jase un peu partout sur la mère et l’amant. Le père ne fout plus les pieds ici. Ça se passe plutôt bien, ouais. La sœur est vraiment une fille en or, ils en sont contents. La fille fait l’ado rebelle qui s’enferme dans sa chambre pour broyer du noir sur le papier peint noir dans la nuit noire en faisant la gueule à tout mammifère, oiseau, reptile, poisson ou amphibien. Ils se disent que ça passera.
Puis un soir comme les autres, alors que tout le monde serait bien resté chez soit à mater n’oubliez pas les paroles, le père revient comme une petite fleur poussée dans le goudron, au bord de la route. On lui sert le café. Il dit qu’il a quitté l’entreprise, ça prenait trop de temps. Il est enfin là pour sa petite famille chérie, et ce con, qu’est-ce qu’il fait, il remercie son cousin d’avoir été là pour assurer. Grand silence. Tu dois te sentir fatigué, mon chéri, qu’elle dit, la mère. Ils lui proposent de prendre une douche. Le mec, (le con) il accepte, tout content et tout qu’on lui demande d’aller prendre une douche c’est vrai, il y aurait jamais pensé, putain les gars vous êtes de vrais amis. Et alors, lui, (le con) le père, il glisse et il se casse le crâne sur le carrelage. Bim bam badaboum. C’est vraiment très con. C’est comme ces histoires de pas tenir les couteaux côté pointe quand on débarrasse la table, c’est pas des blagues.

CLYTEMNESTRE ▬ […] L’absence du mari, la méfiance des fils, la haine des filles… Que me restait-il ?
ELECTRE ▬ Ce qui restait aux autres, l’attente.
CLYTEMNESTRE ▬ L’attente de quoi ? L’attente est horrible.
ELECTRE ▬ Celle qui t’étreint en ce moment, peut-être.
CLYTEMNESTRE ▬ Tu peux me dire ce que tu attends, toi ?
ELECTRE ▬ Je n’attends plus rien, mais dix ans j’ai attendu mon père. Le seul bonheur que j’ai connu en ce monde est l’attente.
CLYTEMNESTRE ▬ C’est un bonheur pour vierges. C’est un bonheur solitaire.
ELECTRE ▬ Crois-tu ? À part toi, à part les hommes, il n’était rien dans ce palais qui n’attendit mon père avec moi, qui ne fût complice ou partie de mon attente. Cela commençait le matin, mère, à ma première promenade sous les tilleuls qui te haïssent, qui attendaient mon père d’une attente qu’ils essayaient vainement de comprimer en eux, vexés de vivre par années et non, comme il l’aurait fallu, par décades, honteux de l’avoir trahi à chaque printemps quand ils ne pouvaient plus contenir leurs fleurs et leurs parfums, et qu’ils défaillaient avec moi sur son absence. Cela continuait à midi, quand j’allais au torrent, le plus fortuné de nous tous, lui qui pouvait bouger, qui attendait mon père en courant vers un fleuve qui courrait vers la mer. Cela se poursuivait le soir, quand je n’avais plus la force d’attendre près de ses chiens, de ses chevaux, pauvres bêtes trop mortelles, incapables par nature de l’attendre des siècles, et que je me réfugiais vers les colonnes, les statues. Je prenais modèle sur elles. J’attendais, debout sur la lune, pendant des heures, immobile, comme elles, sans penser, sans vivre. Je l’attendais d’un cœur de pierre, de marbre, d’albâtre, d’onyx, mais qui battait et me fracassait la poitrine… Où en serais-je s’il n’y avait pas encore des heures où j’attends encore, où j’attends le passé, où je l’attends encore !
ÉLECTRE, II, 5.

« Hé, Astrid ! Hé Astrid, tu baises ? »

Elle est raide comme un fil de fer. On la surnomme l’inflexible. Comme on dit, c’est pas qu’elle est laide, ou stupide, ou bossue ; c’est qu’elle est incroyablement et irrémédiablement chiante. C’est une fille à problèmes. Elle a la haine, Astrée, elle en veut à tout le monde. Elle sait même pas pourquoi.

« C’est Astrée, connard. »

Astrée, la déesse de la justice, ça pouvait pas tomber mieux, pas vrai. Atrée, maudit par les dieux pour avoir tué ses neveux et les avoir donné à leur père à bouffer. Atride, la lignés des pourris jusqu’à la moelle. Astrid, la bêcheuse et la frigide.

« Ah désolé Astrid, je savais pas. Donc. Astrée, tu baises ? »
« Va te faire voir chez les Perses, pauvre type, j’ai autre chose à faire que de te regarder te pisser dessus avec un air satisfait. »

Elle est rigide et frêle comme un poteau d’électricité.
Astrée Atride est la plus chiante de toutes les filles du lycée. On vous le dira. Vous le verrez à cette manière sévère qu’elle a de nouer ses cheveux en un chignon tressé, strict en diable. On vous racontera qu’elle n’a pas d’amis, qu’elle est prétentieuse et supérieure, qu’elle n’adresse la parole à personne ou alors pour faire un commentaire condescendant. Ce sera vrai. Pour être plus proche de la réalité, on peut même avancer qu’à cette période de sa vie, Astrée n’était qu’une sale emo qui broyait du noir, trouvait le monde trop injuste, détestait sa famille, ne supportait pas les gens de son âge et n’a d’autre envie que de faire sauter l’olympe. C’est encore un peu le cas.
Elle a des idées, des envies de révolte, une conscience politique et surtout une rage sourde dont elle ne connaît pas le nom. Elle en veut à sa mère, elle en veut à son beau-père, elle en veut à la Terre entière et à Noctem en particulier, sans raison sinon toutes. Alors l’envie lui prend de faire le mur, mais pas pour aller boire ou danser car une fille sérieuse comme elle n’a pas que ça en tête, mais pour distribuer des tracts, taguer des affiches, infiltrer la Tour de Babel et faire connaissance avec les loubards, les durs des durs, et les piliers de la résistance. Le sang qui coule en elle ne rêve que de manifester et de poser des bombes. De fille rangée elle passe à fille à problèmes, et pour tout dire ça ne surprend personne. On vous l’a dit, ça a toujours été une chieuse.

Après plus ou moins de remous, elle finit son cursus au lycée et entame des études supérieures. De droit. Toujours pour faire son intéressante et rappeler à sa famille qu’elle au moins à une conscience. Elle ne se fait pas de copains, elle reste monstrueusement rasante et répond à toute tentative de communication par un « Te satisfait-tu d’avoir ton destin tout tracé, d’une existence limitée et du gouvernement totalitaire poussé à l’extrême par un dangereux maniaque sadique au plus haut point ? » avant de claquer sa pile de livres sur la table et de partir (à la bibliothèque). Et quand elle a du temps libre, elle imprime des tracts qu’elle colle dans les salles de classe et essaye placer des tribunes enflammées sur la liberté d’expression et de choix dans le journal universitaire.

Au fond, il y a une raison toute particulière à sa haine de Fabula. C’est parce qu’il l’a fait renaître dans le corps indigent d’une petite bourgeoise méprisable, qu’il a donné à son drame des allures de mauvais soap-opéra, pour la laisser se satisfaire d’un désespoir frelaté. Il ne lui a pas laissé la démesure de toute sa tragédie.

ANDROMAQUE ▬ Je ne sais pas ce qu’est le destin.
CASSANDRE ▬ Je vais te le dire. C’est simplement la forme accélérée du temps. C’est épouvantable.
LA GUERRE DE TROIE N'AURA PAS LIEU, I, 1.

Un beau jour elle le rencontre.
C’est dans les rues de la ville, elle avance dans la foule quand elle le voit. Elle est pressée, mais ça l’arrête en plein élan, de voir un visage différent des autres, fait d’une matière si familière et si aimable. Ils se regardent et le temps s’arrête comme dans un film indépendant, on croirait voir une couleur de fond et une musique italienne des années 50, en plus d’un ralenti. Il n’y a pas grand chose à dire sur le scénario. Peut-être qu’ils se demandent « Je ne vous ai pas vu quelque part ? » « Vous avez de la famille du côté d’Argos ? » Ou bien alors ils ne disent rien, se fixent comme deux étrangers qui se ressemblent trop. Le monde entier a explosé et la vie se bouscule dans cette seule ruelle, dans la distance de l’un à l’autre, dans l’espace de l’autre à l’un.

C’est Oreste. C’est Oreste, il n’y a plus de ville, il n’y a plus de roi, plus de destin ni d’existence ; il n’y a plus que les six lettres de son prénom qu’elle murmure comme une prière. C’est lui qu’elle a attendu, c’est le seul espoir qui lui a jamais été permis. Il n’est que le commencement de tout le reste. Enfin Électre existe, enfin Oreste est là. Ils sont libérés de toutes les mères et de tous les pères, il n’y a plus qu’eux deux, le frère et la sœur, qui renaissent, qui sont nés l’un de l’autre. Les cheveux d’Électre sont déliés pour la première fois, comme de longs fils électriques dorés.

Ils prennent une toute petite maison comme toute les autres, avec l’espoir que leur histoire à eux sera différente. Oreste est contre Noctem Fabula au moins autant que sa sœur. Il a bien raison, lui. Après tout, il est sensé tuer sa mère, son beau-père, le fiancé de celle qu’il aime, la voir se suicider par la suite, et en être torturé toute sa vie. Vous aussi, vous voudriez faire quelque chose contre. Électre est heureuse. Pour le moment elle contient en elle cette rage féroce et sourde qui la faisait se tenir droite et raide, elle s’abandonne dans les pavés dégoulinants du bonheur pour un instant futile.
Elle l’aime comme un frère, elle l’aime comme son père, elle l’aime plus encore. Astrée l’aime comme Électre aime la justice, elle l’accueille comme la délivrance. Qu’est-ce qu’ils en ont à faire, ses ancêtres, les dieux, Noctem ; elle n’en a pas vu d’autres, la descendance d’Atrée, qu’un malheureux amour fraternel ? Où est l’inceste, où commence le pêché, pour ces deux enfants qui n’ont pas grandi ensemble, et une fois qu’on enlève ce père qui est mort et cette mère qui est reniée ?
Oreste ne rencontrera jamais son Hermione. Elle l’en empêchera. Elle sera son refuge et son remède, il sera son prisonnier consentant. Elle le gardera près d’elle, toute les nuits s’il le faut elle veillera sur son sommeil.

Un beau matin elle sait. C’est au matin du premier mois après qu’elle ait retrouvé son frère. Tout est clair, tout est lumière, et le ciel a le bleu des prisons. Électre qui a dormi pendant des années voit enfin surgir le crime au détour d’un rêve, le père en complet noir nageant dans son sang et les deux beaux amants du lendemain tâchés d’hémoglobine séchée. C’est en presque poétique tellement c’est misérable. Électre se sent les yeux ouvert après un très long sommeil. La haine a un sens. La colère, la soif de vengeance, la faim de justice. Tout cela était prévu. Cela doit arriver. Et c’est normal, après tout, car il faut que l’on répare l’honneur du père.
Pourtant les revendications tout d’un coup sonnent faux. A quoi bon se battre pour vouloir choisir, quand elle sait pertinemment qu’elle prendra dans tous les cas le chemin qu’elle doit prendre ? Les années passées à s’agiter sans jamais être inquiétée de représailles lui reviennent, et on croirait voir sourire le maître des récits. Voilà qu’Électre se révèle en elle-même, et qu’elle veut accomplir son destin. Il devait tout savoir depuis le début, il était évident qu’Électre dans la vérité voudrait que justice soit faite.
Ils riraient amèrement, à Babel, s’ils savaient son revirement. Mais les autres c’est pas pareil, ils ne savent pas ce que c’est de passer sa vie à attendre, à être le garde fou et la morale des autres ; si en plus il fallait avoir le choix.

Pour le moment l’orage ne gronde que sous la peau. C’est le calme avant la tempête. Elle se pose encore les questions de circonstances, par égard pour son frère, quitte à tout faire sans lui s’il n’en veut vraiment pas, de ce double assassinat. Oreste contient encore toutes les fureurs de sa sœur. Il est beau, presque dieu, pour tenir cet éclair dans sa paume grande ouverte. Tout au plus retarde-t-il l’inéluctable. Car elle frappera tôt ou tard, c’est inévitable. Ça a été écrit dans les nuées.
Tout le monde est libre de sa destinée, sauf Électre.



electricityscape

▬ Ah ! mon Dieu, voici Électre. Nous étions si tranquilles !
Pseudonyme : lolalula.
Sexe : mary-sue ftw.
Âge : jeune kikoo.
Source de l'avatar : OC là, mais sinon Belarus • Hetalia.
Comment avez-vous découvert SQE ? das weißt mann nicht.
Des questions, des réclamations ? je ne pense pas.
astrée ▪ Le Deuil sied à Électre. 565768


Dernière édition par Astrée E. Atride le 10.08.12 23:55, édité 6 fois
 
Pétunia Œ. de Thèbes
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ADMIN - The Original Motherfucker
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Âge : 28
Messages : 354
Date d'inscription : 28/11/2011

Personnage Incarné : Œdipus Rex
Surnom : Fureur
Préface de Cromwell :
Je n'ai pas cru dès lors pouvoir laisser à d'autres le soin d'entendre votre appel, je suis venu à vous moi-même, mes enfants, moi, Œdipe — Œdipe au nom que nul n'ignore.
fichers


VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE
Âge : 24 ans.
Métier : Garçon de café, étudiant.
Que pensez-vous de Noctem ? :
astrée ▪ Le Deuil sied à Électre. Empty
MessageSujet: Re: astrée ▪ Le Deuil sied à Électre.   astrée ▪ Le Deuil sied à Électre. Empty21.03.12 20:55

Bonjour et bienvenue sur Sum Quo- OH WHAT AM I DOING.
Je sais même pas quoi dire en fait. Je suis un peu soufflée. Trop de. trop. ELECTRE RAAAAH. (elektra ! cette référence est en or massif.)
En fait je vais rien dire et valider voilà.
Je euh.
Voilà.
Oh et, jeune Astrée, le Roi organise un bal pour le Carnaval de Cassandre et y requiert ta présence... *pokerface*
(on va vite manquer d'idée pour ne pas raconter toujours la même chose. Bal, invité, Noctem, blabla)
 
 

astrée ▪ Le Deuil sied à Électre.

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