Forum en hiatus le temps qu'on se reprenne les couilles en main trololo
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 orpheo* le temps des fleurs

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Octave O. Oeagre
Octave O. Oeagre
MODO TEMPORAIRE — it's a bird ! it's a plane !
MODO TEMPORAIRE — it's a bird ! it's a plane !
Âge : 29
Messages : 142
Date d'inscription : 16/03/2012

Personnage Incarné : Orphée
Surnom : "il vient encore chercher son RMI ?"
Préface de Cromwell : délires de lyre

VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE
Âge : 27 ans
Métier : joueur de lyre électrique
Que pensez-vous de Noctem ? :
orpheo* le temps des fleurs Empty
MessageSujet: orpheo* le temps des fleurs   orpheo* le temps des fleurs Empty23.03.12 20:54

HAHAHA RÉSERVÉE HAHAHA HAHAH HAHAHA HAHA. ha. ... je suis un chacal.
Sale troll

c'était le temps des fleurs

JE FAIS LE VIDE.
orpheo* le temps des fleurs 917118orphepoiconPERSONNAGE Orphée, de la mythologie grecque.
NOM, PRÉNOMS Oeagre, Octave Orphée.
SURNOM publiquement connu sous le « pseudonyme » d'Orpheo.
ÂGE vingt-sept ans.
MÉTIER musicien.
Orpheo rencontre un large succès, et personne ne peut allumer la radio cinq minutes à Cassandre sans entendre un de ses tubes. Les journaux et les maisons de disques se l'arrachent, alors qu'il s'est fait connaître avec son yukulélé dans le métropolitain. A noter qu'il suit une carrière solo en étant Orpheo, mais personne ne reconnait Octave dans la rue.
CAMP pour Noctem, pour toujours.


on ignorait la peur

JE NE VOIS QUE DES PAGES BLANCHES.

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NOCTEM & LUI beaucoup chansons de Orpheo sont consacrées à la fatalité, au destin, et renvoient finalement à Noctem auquel Octave adjoint un respect sans bornes. En réalité, un artiste comme Octave devrait être contre une entité pareille, parce que Noctem enferme et Noctem empêche, Noctem étouffe et Noctem éteint. Il éteint tout, il fait mourir les Muses ses mères et il piétine la liberté essence de l'art. Et pourtant, Octave adhère totalement à Noctem, parce que Noctem lui a donné quelque chose, quelqu'un, une fleur, une âme soeur, Noctem lui a donné Eurydice, et pour ça, Orphée se sentira toujours redevable envers lui, pour lui avoir donné un destin si noble. Octave est quelqu'un de très romantique.
SON CAMP & LUI la musique de Orpheo étant assez mainstream, personne ne se doute qu'il puisse être contre Noctem, au vu de ce qu'il chante. Octave ne veut cependant pas s'aventurer et se faire voir comme un artiste engagé pour la cause du Roi, c'est pourquoi ses références sont assez implicites et pas vraiment abondantes. Les gens confondent parfois l'admiration qu'a Octave pour Noctem avec du fanatisme, mais Octave aime son yukulélé et Rosie par-desssus Noctem, et il aime Noctem surtout parce qu'il lui a permis de nouer avec les deux premiers.
SON DEGRÉ D'ENGAGEMENT Si Noctem lui demandait de composer un hymne pour endoctriner les gens, Orphée le ferait, parce qu'il est sincèrement convaincu que celui-ci apporte la plénitude aux habitants de la ville. Il ne se rend évidemment pas compte que Noctem n'a pas apporté l'amour à tout le monde. Octave est au service de Noctem et espère en être récompensé, comme par exemple, pouvoir vivre avec sa douce ?
SA PEUR Est-ce nécessaire de le préciser ? Perdre Rosie équivaudrait, pour Octave, à subir une mort imminente. - Il serait terrible, également, pour Orphée, de perdre sa voix, son ouïe, sa musique, et le pire viendrait : Orphée ne pourrait plus chanter son amour pour Eurydice.


tout comme au temps des fleurs

J'EN PARLAIS. J'EN RÊVAIS. JE LA CHANTAIS.

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★★★★☆ DÉLIRES DE LYRE un indie rafraîchissant à boire sans modération.
★★★★★ ODES&MODES indispensable. Des paroles travaillées, une musicalité osée, des chansons profondes et toujours aussi éclatantes. Et même mieux, éblouissantes.


Orpheo. Lecteur habitant à Cassandre, tu connais ce nom. Il t'évoque ces tubes qui passent et qui repassent sur les radios, avec cette voix aérienne et ce petit accompagnement à la guitare sèche, avec ce synthé un peu démodé, avec ces swings qui donnent envie de danser, ou ce refrain scientifique qui donne envie de pleurer. Il évoque une ambiance preppy avec des bandeaux à plumes de paon et des mocassins orange trémoussant dans la savane exotique, ou une soirée romantique sans lune ni lumière. Et Orpheo, au-delà de l'icône musicale qu'il est devenu malgré lui, garde en tête ses débuts tâtonnants dans les transports publics.
Reportage.

Comment te sens-tu ?
Orpheo. - Bien.

Mais encore ?
O. - Un peu en transe avant le concert, mais ce n'est pas nouveau. Vous pardonnerez mon état second.

Qu'est-ce que cela fait de se réveiller un jour et de ne pas être le même que la veille ?
O. - Je ne me sens pas vraiment différent d'avant. J'essaie de garder la même authenticité, et de rester comme j'étais, un peu dans la lune, et très timide. Enfin, ça, c'est naturel, et même si j'essayais de changer, je n'y arriverais pas.

Mais la célébrité, d'un coup, qui tombe sur tes épaules ?
O. - Si c'est un fardeau ? Elle ne m'empêche pas de continuer à écrire. Et même si elle l'était, je ne m'en plaindrais pas, c'est un peu déplacé, après avoir tout fait pour essayer de percer. Il a fallu un peu de chance et beaucoup de travail, et finalement, je suis reconnaissant à toutes les personnes qui m'y ont aidée. En réalité, je ne me rends pas compte que ma vie a changé. Il me semble encore devoir chanter avec un chapeau retourné devant moi dans la rue pour gagner ma vie.

Tu ne reconnais pas l'ampleur que prend ta carrière ?
O. - Plutôt que carrière, qui est un mot bien rigide et bien triste, j'emploierais un mot plus doux qui évoque un plaisir. Non, je ne me rends pas très bien compte de cette ampleur, mais je sais qu'il y a des gens qui écoutent mes chansons et qui les aiment, et cela me suffit. J'ai toujours su qu'il fallait que j'aille là dedans. On me parlait de travail, d'études, mais j'ai su depuis que j'entends ma mère chanter dans la cuisine, j'ai su qu'il fallait que je prenne le petit clavier et que je gagne ma vie avec. Et même dormir à la belle étoile dans cette optique m'aurait rendu heureux.

Ton destin repose dans la musique, donc.
O. - On pourrait dire ça. On m'a reproché d'être un mouton qui suit sa voie, mais je ne vois pas de mal à faire ce qui me plaît. Ce n'est pas de l'égoïsme, plutôt une sorte de consensualité. De toute façon, j'ai grandi comme ça. J'écoutais la radio et c'était ma plus grande distraction. Ma mère dans son temps libre écrivait des petits poèmes en prose. Elle essayait parfois de la mettre en musique. J'étais trop jeune, mais quand je les ai retrouvés il y a quelques années, et j'ai été foudroyé. Enfin, je ne plagie pas ma pauvre mère, que ce soit clair (rires) Elle les garde précieusement pour un futur sombre où je n'aurai plus d'inspiration. Espérons que ce futur ne vienne jamais.

Alors que ton premier opus est signé par une main éclatante et juvénile, on sent que l'ambiance a changé et que ce dernier est plus posé. Les mélodies entraînantes laissent place à de doux arpèges. Pourquoi une telle métamorphose ?
O. - C'est un peu un retour en arrière, parcours classique de quelqu'un qui veut faire de l'art. D'abord, il s'essaie maladroitement en jetant quelques touches de peinture sur une toile grossière, puis il essaie de chercher profondément en lui, pour créer quelque chose de plus fin. Pour cet album, j'ai repensé à mon enfance, aux gens que je croisais dans la rue et qui couraient comme si le temps les rattrapait, j'ai expérimenté des instruments moins à la mode, et finalement, ça m'étonne que le titre où il y a une longue partie instrumentale avec de la harpe plaise ! On s'est plus appliqué sur les paroles, aussi. Non que je veuille m'aventurer et provoquer, je suis bien trop craintif pour ça. Il fallait transmettre une émotion pure, et on a dépouillé les morceaux au maximum. Enfin, on a casé pas mal de trucs psychédéliques aussi.

On sent même un malaise quelque part...
O. - Je pense qu'il a fallu prendre une pause. Respirer dans ce tourbillon. Quand Odes & Modes a eu du succès, je n'y croyais pas, et l'on me préparait pour que je sois à la hauteur de ce que je n'avais pas escompté. Il y a eu une longue période d'expiration. Et puis mon manager m'a repris en main, il m'a même donné une claque, il m'a dit que je devais continuer si j'étais un homme, c'était vraiment un moment terrible (rires) Alors il a fallu meubler ce silence de plusieurs mois, et on a tout compensé, on a noté tout ce qui nous était venu à la tête, et en un temps record on a bouclé le deuxième album, qui est finalement très disparate quand je le regarde avec un peu de recul.

Comment as-tu débuté dans la musique ?
O. - Je faisais partie du club de jazz du lycée. Quelques années au Conservatoire m'ont appris de la technique. J'ai tenté la guitare dans des bars avec une ambiance western. Mais je n'avais pas la country dans la peau. Alors j'ai fait les métros. Et j'étais loin de m'imaginer qu'un passager allait me repérer et me faire signer un contrat illico. Et après, c'est allé très, très vite.

C'est un parcours très acharné ! Quelle motivation te guidait ?
O. - Comme dit précédemment, je savais que ça coulait dans mon sang, et même si ma mère professeur ne pouvait pas vraiment m'aider, je me suis dit qu'il fallait que je combatte avec mes poings, d'ailleurs, je m'étais même fait le serment de mourir au combat ! Et puis il y avait une promesse, la promesse la plus puissante du monde, celle d'un jour nouveau et celle d'une vie sublimée, c''était la promesse de la revoir si j'en étais digne. Enfin, c'est un peu embarrassant. C'était dur, surtout l'époque du métro, mais j'avais une étoile que je suivais, et j'aurais pu continuer pendant des décennies.

Psychologiquement, cela devait être très difficile, surtout quand le changement est si soudain !
O. - Quelqu'un comme moi n'aurait pas tenu seul, mais heureusement que j'ai des béquilles très solides ! Je suis détendu aujourd'hui, mais après mon premier opus, j'étais complètement perdu et je ne savais plus quoi faire. Deux ans seulement se sont passées ! Je me souviens, je me cachais, je ne touchais plus à rien, et en même temps, j'étais si reconnaissant envers les gens. J'étais totalement confus, je regrettais presque la rue... Après mon manager, elle est venue aussi. Elle m'a dit que c'était pire que si je n'avais rien fait, et cela m'a fait l'effet d'une gifle. J'aurais tout fait pour elle. Et c'est pour elle que je suis sorti de ma torpeur. Et c'est elle qui a adouci les angles du synthé entraînant. C'est grâce à elle que j'ai pu me surpasser. Et psychologiquement, quand une muse vivante vient te rendre visite, il n'y a rien de mieux au monde.

Et c'est cette muse qui te donne l'inspiration pour les paroles inénarrables de tes chansons ?
O. - Ma muse, oui, et Noctem aussi, bien sûr, mais ma muse, oui, elle est formidable. Ce sont les gens un peu rêches et revêches, mais qui au fond se révèlent être les plus affables au monde. Il ne faut pas croire que j'écris les chansons dans une instantanéité dionysiaque, je réfléchis, pour créer, comme vous dites, des choses complètement inénarrables. Mais quand elle est là, je n'ai besoin de rien, tout me vient en tête, il me faut du papier, des crayons. Et c'est sa tonalité qui a dominé dans ce dernier album que vous trouvez métamorphosé.

Oui, finalement, nous voyons bien deux traits du caractère d'Orpheo, d'abord jovial et spontané, et ensuite plus doux... Avec tes lunettes de soleil improbables, ton yukulélé et ton clavier midi, tu parais être quelqu'un très proche du public.
O. - Si seulement je n'étais pas handicapé d'une introversion excessive ! Quand je sors faire mes courses, je me sens redevenir le môme de huit ans, gêné et gênant. J'ai l'air d'avoir un minimum de prestance avec l'équipe, mais je la perds dès que je me retrouve sous la lumière du jour. Heureusement, les gens ne me reconnaissent pas. Heureusement !

Pourrait-on avoir ton vrai nom ?
O. - Plutôt manger un kilo d'amandes.*

Nous ne connaîtrons jamais le vrai nom d'Orpheo. Il restera pour nous ce type déjanté qui sur scène se trémousse et s'amuse comme un enfant. Ses paroles sibyllines ne laisseront d'autres interprétations que les nôtres, puisqu'il refuse de leur donner une explication. Il enlèvera ses lunettes de soleil et sa perruque backstage, où l'attendent son manager et sa muse, probablement, et nous ne verrons de lui que ces verres teintés qui cachent des yeux timides. 

* NDLR : Orpheo est apparemment allergique aux amandes.



la la la lalala

(le peu de citations vient de Orphée, de Cocteau.)
Pseudonyme : gunniegun.
Sexe : gunnie, c'est pas très viril. gun, si.
Âge : dix-sept (comme le temps passe vite !)
Source de l'avatar : uchiwahh sassukey de naruto !! (Uchiha Sasuke, donc.)
Comment avez-vous découvert SQE ? Wocky & Batpinata themselves !!
Des questions, des réclamations ? ce forum est parfait. Bémol : quinze idées de personnages te viennent en tête simultanément.
orpheo* le temps des fleurs Noodle10


Dernière édition par Octave O. Oeagre le 16.04.12 21:50, édité 4 fois
 
Pétunia Œ. de Thèbes
Pétunia Œ. de Thèbes
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Âge : 28
Messages : 354
Date d'inscription : 28/11/2011

Personnage Incarné : Œdipus Rex
Surnom : Fureur
Préface de Cromwell :
Je n'ai pas cru dès lors pouvoir laisser à d'autres le soin d'entendre votre appel, je suis venu à vous moi-même, mes enfants, moi, Œdipe — Œdipe au nom que nul n'ignore.
fichers


VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE
Âge : 24 ans.
Métier : Garçon de café, étudiant.
Que pensez-vous de Noctem ? :
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MessageSujet: Re: orpheo* le temps des fleurs   orpheo* le temps des fleurs Empty24.03.12 19:53

C'est dans un concert de kyah en do majeur que je te souhaite la bienvenue, que je t'embrasse sur les deux joues et que je te valide avec allégresse après avoir pris tout mon temps comme une grosse tepu que je suis !
Même pas je m'attarde en compliments tellement je viens de décider que je ferais à présent partie des groupies les plus sauvages d'Orpheo steuplait. du genre qui lance tous ses sous-vêtements sur la scène en poussant des cris stridents, steuplait.

Et puis, n'hésite pas à faire un tour de par la petite teuf de notre bon roy, mon bon Orphée.
 
 

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