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 Tout ce que j'ai écrit, je l'ai d'abord rêvé - LOVECRAFT

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H. P. Lovecraft
H. P. Lovecraft
« words are my big obsession »
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Âge : 333
Messages : 50
Date d'inscription : 19/06/2012

Personnage Incarné : Lovecraft
Surnom : Cola/Lovie
Préface de Cromwell : colaaddict

VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE
Âge : 15 ans
Métier : Critique
Que pensez-vous de Noctem ? :
Tout ce que j'ai écrit, je l'ai d'abord rêvé - LOVECRAFT Empty
MessageSujet: Tout ce que j'ai écrit, je l'ai d'abord rêvé - LOVECRAFT   Tout ce que j'ai écrit, je l'ai d'abord rêvé - LOVECRAFT Empty20.06.12 19:58

N'est pas mort ce qui à jamais dort

Je n’écris pas d'histoire, j’attends qu'une histoire ait besoin d'être écrite. Si je me mets délibérément au travail, le résultat est forcément plat et inférieur.
Tout ce que j'ai écrit, je l'ai d'abord rêvé - LOVECRAFT U0mHF
Œuvre principale : L'Appel de Cthulhu.

Nom, prénom(s) : Harvey Penetrator Lovecraft, dit H.P. Lovecraft. Est-ce utile de préciser que j'en veux énormément à mes parents ?

Surnoms : Ma passion pour cet exquis soda qu'est le Coca Cola - Qui est bien la seule chose arborant pareilles teintes ne me donnant pas envie de vomir, au contraire de ces affreux nègres - me vaut le pseudonyme de Cola sur la toile. Les roturiers me servant de comparses, pour leur part, me surnomment Lovie. Affligeant.

Âge : 15 ans. Mais je suis bien plus intelligent que les adultes. Ces gros tas puants ne pensant qu'à l'argent. Tas d’imbéciles.

Métier : Les cours ? Très peu pour moi. Je suis un critique désabusé et blasé, et je voudrais te baiser, toi, ma petite traînée, la la la. Qui a du coca ? - Autrement dit, malgré tout ce qu'il peut raconter, c'est juste un misérable prolétaire.

Camp : J'emmerde Noctem, j'emmerde les gens, j'emmerde la vie. Je vote Cola. - Rebelle.


Et au cours des siècles
Peut mourir même la Mort

Je ne participe jamais à ce qui m'entoure, je ne suis nulle part à ma place.


Noctem ? Oh, lui. Mon avis, c'est que c'est l'un de ces débiles tendance mégalomanes voulant diriger le monde que l'on croise à chaque coin de rue. Il n'a rien d'autres à faire de sa vie, ce type ? Il est lui-même le pion du destin, et il pense être plus important que nous ? Mon cul.

Il est pareil que l'ensemble des gens peuplant notre monde: il ne vaut rien, c'est du vent. Oh, vous trouvez mes propos durs ? Tant mieux, car je suis certain que sa bite ne l'est pas souvent, elle. Pour résumer ma pensée, son jeu, il peut se le mettre où je pense.

Vous voyez, bien que la vie soit une putain, j'ai mieux à faire que de perdre mon temps avec cet imbécile et sa bande de suceurs. Ensuite, pour ce qui est de mes créations... Qu'elles fassent ce qu'elles veulent, tant que c'est loin de moi.

Je n'ai pas spécialement envie de discuter avec l'incarnation d'un dieu pas content à face de poulpe, ni avec des malades perdant la raison après avoir vu la face cachée du monde. Nope, moi je préfère boire mon cola tranquillement tout en massacrant point par point le dernier film à la mode sur mon blog, voilà.


Noctem et vous : Qu'il crève. Et les gens avec.

Votre camp et vous : Avec le caractère qui est le mien, vous me voyez vraiment bien m'entendre avec autrui ? Sérieusement. - Harvey n'a pas de liens très étroit avec les autres rebelles. Au mieux, on peut le retrouver en train de débattre sur un forum peu connu du reste du monde, mais à part ça...

Votre degré d'engagement : Si je peux faire chier Noctem, je veux bien me donner à fond et lui cracher dessus sur mon blog. - Harvey reste une grande partie de son temps cloîtré chez lui. Vous l'imaginez réellement manifester son dédain pour Noctem avec véhémence et participer à un quelconque événement anti-Noctem, vous ?

Votre plus grande peur : Une pénurie de Coca Cola. Ou une coupure internet. - Sa véritable peur serait en réalité de croiser le chemin de ses créations. Vraiment, tous ces dégénérés et êtres étranges lui font froid dans le dos. À un niveau moindre, il fuit naturellement les autres; mais là, ça tient plus de sa haine farouche envers l'ensemble de l'humanité que de l'effroi à proprement parler.


Celui qui chuchotait dans les ténèbres

Tous mes récits sont basés sur la prémisse fondamentale que les lois et les émotions humaines communes n'ont aucune validité, aucun sens, par rapport au cosmos dans sa complexité.

    Slayer dit:
    Alors, tu la trouves comment ?
    Cola dit:
    Hum... Disons que si d'extérieur, le contenant est intéressant, le contenu, lui, ne vaut guère plus que le néant.
    Slayer dit:
    T'es dur là ! C'est pas comme ça que tu vas te trouver une petite amie.
    Cola dit:
    Ai-je réellement l'air de m'intéresser aux amourettes ? Pitié.
    Slayer dit:
    ... Vu comme ça.
    Cola dit:
    Sur ce, je vais te laisser, j'ai un article à rédiger
    .


Ne laissant pas même le temps à son interlocuteur virtuel de répondre, Harvey coupe la connexion à son compte tout en se frottant la masse de cheveux blonds qui est la sienne. Dire qu'on l'avait dérangé pour un rendez-vous arrangé. Vraiment, c'est mal le connaître. Il devrait songer à revoir sa liste d'amis. Enfin, si tant est qu'il en ait, des amis. Peut-être que sa "liste de connaissances" définirait mieux la chose.

Vous voyez, le Lovie n'est pas quelqu'un de vraiment sociable: il préfère rester cloîtrer dans sa demeure plutôt que de sortir faire la fête avec les autres jeunes peuplant Cassandre.

Il faut dire que les jeunes en question ne l'intéresse pas vraiment. Ce sont tout au plus des imbéciles ne servant strictement à rien. De plus, il y a risque de croiser l'une de ses créations et autant mettre noir sur blanc la chose: Lovecraft n'est pas de ces auteurs se sentant attirés par leurs œuvres.

Oh que non, lui, il prend plutôt ses jambes à son cou dès qu'un soupçon se présente à son esprit. Il faut préciser que de ce qu'il se souvient de sa vie précédente, l'aperçu de sa bibliographie ne lui donne pas envie de s'y frotter.

Si vous avez déjà lu quelques nouvelles de Lovecraft, vous devriez comprendre de quoi il en retourne, et ainsi, appréhender sa réticence vis à vis d'eux. La réalité, je vais vous la dire, c'est qu'il aurait bien aimé être l'auteur d'histoires sans bizarreries effrayantes. Genre Disney.

Oh oui, là, ça aurait été bien plus marrant: une souris sympathique, ou encore un canard grincheux, c'est tout de même moins intimidant qu'une déité maléfique détestant à peu près tout ce qui existe. Sans parler des autres créatures dégénérées venant de on ne sait où.

Qui plus est, si on inclut également dans le lot les personnages provenant d'autres auteurs, tous plus cinglés les uns que les autres, il devient évident que rester chez soi semble offrir de meilleures chances de survie.

Vous conviendrez donc qu'il lui est préférable de rester avec ses livres et son ordinateur plutôt que de vagabonder dans la rue. C'est tout de même moins dangereux, n'est-ce pas ? Bref, sa compréhension du monde lui dit clairement " pas bouger, reste dans ton terrier, tu seras plus en sécurité ".

Oui, il n'est pas courageux, et il s'en moque bien. Les courageux sont les premiers à y passer, en tout cas, lorsqu'ils ne sont pas les héros de l'histoire. Harvey est donc plus enclin à hurler " courage, fuyons ! " que " nous défendrons nos terres jusqu'à la mort ! ".

M'enfin, le coup du " je ne veux pas sortir, y a plein de personnages dangereux dehors ! ", c'est avant tout une excuse. Harvey, il déteste juste le genre humain. On peut tout aussi bien dire qu'il déteste à peu près tout ce qui a existé, existe toujours, ou existera un jour. Lorsque l'on possède en prime un fort esprit critique et une tendance à la provocation, on ne risque pas de faire long feu à Cassandre.

À se demander comment il a survécu jusqu'à maintenant. Notons d'ailleurs que bien qu'étant à l'image de l'auteur dont il est la réincarnation, très intelligent, il semble ne pas avoir intégré que lorsqu'on est jeune, mince et plutôt petit, on ferait mieux de ne pas se la ramener.

Heureusement qu'il a abandonné ses études, tiens. Non parceque, je ne sais pas vous, mais moi je ne donnerai pas cher de sa peau en présence d'un tas d'abrutis ayant décidé de compenser leurs cerveaux endormis par de gros biceps... Quoi qu'il en soit, après un bref tour du côté du frigo, Harvey décida de revenir sur sa messagerie plutôt que de rédiger son article. Le temps passa jusqu'à ce qu'à l'arrivée d'un nouveau message.

    Black Hat dit:
    On a repéré un petit bar sympa et pas trop fréquenté, tu veux venir ?
    Cola dit:
    Non.
    Black Hat dit:
    Ça c'est de la réponse rapide et directe. Et pourquoi pas ? Tu as mieux à faire, dans ta chambre ?
    Cola dit:
    Je ne veux pas me mêler aux gens. Ils sont moches et sales. Et les bars ne sont pas mieux.
    Black Hat dit:
    Pour un enfant de famille modeste, tu te la joues un peu trop bourge, tu sais ?
    Cola dit:
    ... De toutes façons j'ai une santé fragile, je ne veux pas tomber malade juste pour vous faire plaisir. Salut.


Haaa, Harvey et ses réponses courtes et d'un ton sans réplique. Il est tellement asocial et peu bavard que malgré tous les mots dont il dispose pour lancer des phrases cinglantes, il se retrouve très rapidement à court d'arguments en face de quelqu'un lui tenant tête. Il est donc assez facilement désarmé contre les gens ne fuyant pas à la première phrase assassine, alors, comme le veut la logique d'un petit couard dans son genre, il préfère couper court et prendre la fuite, le Cola.

Notons que quand ce n'est pas possible et qu'il se retrouve forcé de poursuivre une discussion dans laquelle sa répartie est de plus en plus faible, il enrage et disparaît dans un coin pour descendre un bon litre de cola droit dans son gosier - bien entendu, il se fiche de l'effet que cela peut avoir sur sa santé.

Oh oui, le cola, c'est bien l'une de seules choses qu'il aime, le Harvey ! Et ça, tout le monde ( enfin, ceux le fréquentant. ) le sait. Que voulez-vous, il y en a, c'est l'alcool, d'autres la drogue, certains le sexe, lui, c'est le cola. Et les livres, qu'il dévore depuis sa plus tendre - et triste - enfance. On peut y ajouter que son ordinateur a également une place de choix dans son cœur, tout du moins, jusqu'à ce qu'il devienne inutile et se retrouve remplacer par un autre plus beau, plus jeune et plus performant. Les femmes font ça très bien avec les hommes, alors où est le problème ?

Pour faire court, Harvey est simplement un adolescent misanthrope, lâche et ne se sentant plus pisser, prisonnier qu'il est de son mépris envers le monde. Au fond, ce genre de gamin virant ermite est tellement commun que je ne sais pas ce que je pourrais encore écrire sur lui. Vous voyez, niveau extérieur, on ne peut pas faire grand chose de ce gamin, mais j'imagine que vous l'avez bien compris au cours de votre lecture.

Ce blondinet est bien plus intéressant une fois en face d'une page blanche, ou à défaut, d'un document word vierge, que lâché dans une boîte de nuit, car tout comme son être originel, le blondinet rédige souvent des nouvelles dans son coin. Nouvelles qu'il garde pour lui, plus par égoïsme que par peur de se faire critiquer - croyez-moi, il se démolit bien assez lui-même.

Il écrit ainsi des histoires portant sur des gens pas vraiment sain d'esprits, des mythes étranges, des lieux malsains et des créatures oniriques venant d'un autre monde... Ce qui l'exaspère au plus haut point. Rédiger ce genre de contes, ça lui donne l'impression de n'être une pâle copie du véritable Lovecraft.

Comme annoncé plus tôt, il aimerait vraiment être l'auteur d’œuvres plus joyeuses et enfantines, alors se retrouver à chaque fois l'esprit parasité par des visions d'horreurs cauchemardesques, alors qu'il ne souhaite que rédiger l'histoire d'un mignon petit chaton partant à l'aventure, ça a tendance à sérieusement le démoraliser.

À ses yeux, son imagination débordante est bien pire que le syndrome de la page blanche, oui, c'est limite s'il ne voudrait pas le connaître plus souvent, ce fameux syndrome. Avoir de l'inspiration quand on se nomme Lovecraft, c'est un véritable enfer. Vous êtes constamment assaillie, et ce peu importe le moment de la journée, par des pensées bonnes à vous rendre fou - chose plus ou moins déjà faite dans son cas.

Oh, mais que vois-je ? Une nouvelle discussion sauvage vient d'apparaître. Voyons cela...

    George dit:
    Tu as bientôt terminer de rédiger ton article ?
    Cola dit:
    Oui oui, ça arrive...
    George dit:
    T'as encore une heure devant toi, si tu tardes plus, le patron risque de voir rouge.
    Cola dit:
    Ça le changera des petites culottes blanches de la secrétaire.
    George dit:
    xD


Hum. Une heure pour faire un article qu'il n'a aucune envie d'écrire ? Bwarf, au pire il se fera passer un savon, il y a plus grave. Quoi que, ça impliquerait de sortir. Et de se rendre au bureau de la rédaction. Où il y a des gens. Mon dieu, quelle horreur ! Mais revenons-en à nos moutons. Être le Lovecraft nouvelle version le fait donc sérieusement déprimer, surtout quand il entrevoit ce qui l'attend dans l'avenir.

Voilà pourquoi il déteste Noctem: il faut être un véritable tordu pour faire revivre à de pauvres gens leurs misérables vies. Comme si Howard Phillips Lovecraft n'avait pas assez dégusté de son vivant, il faut qu'il termine à Cassandre pour revivre tout ça. Non, vraiment, c'est sadique. Alors Harvey, lui, il fait un doigt d'honneur au soi-disant Roi et il utilise les bribes de souvenirs lui étant revenue de sa précédente existence pour éviter que ça ne se reproduise dans celle-ci. Et tant mieux si ça fait chier le roi de la cité.

De ce fait, malgré son incapacité à vivre en société - et sa haine du peuple, il tente parfois de sortir voir du monde, de plaire, bref, de vivre comme les autres jeunes... Mais l'échec est constant et ne le motive pas à s'y remettre. Alors au final, lorsqu'il quitte sa grotte, c'est pour vagabonder dans la nature et observer ce qu'il s'y passe.

Ou faire des réserves de cola. Ou acheter des livres. Ou renouveler des composants de son pc. Ou chercher du travail quand il a été encore une fois viré de son job du moment. Mais pas pour sociabiliser, ça c'est sûr.

Ajoutons que même s'il le voulait, il ne pourrait pas sortir souvent, le Lovie. Comme dit plus haut, Harvey a une santé assez fragile: il ne supporte pas les températures basses et tombe malade en un rien de temps. Encore une fois, il partage avec le Lovecraft d'origine quelque chose lui sortant par les yeux: un corps faible et une défense immunitaire désastreuse.

Encore une bonne raison de ne pas sortir de son petit chez lui, vous me direz. Remarque, il trouvera toujours une bonne raison pour ne pas sortir, ce gamin. Il faut dire que la volonté n'est pas ce qui le caractérise le plus: une vie sans figure paternel et des femmes vous protégeant de tout et n'importe quoi, ça ne vous forge pas des hommes charismatiques et sûr d'eux, vous voyez ?

Encore moins quand depuis votre enfance, vous passez la majeure partie de votre temps dans la bibliothèque de votre grand-père. Vous en conviendrez, passer ses journées à lire des bouquins, ce n'est pas ce qu'il y a de plus recommandé pour qu'un enfant découvre le monde.

En parlant de son grand-père, c'est depuis la mort de ce dernier, encore fraîche dans le cœur du petit blond, que ce dernier a retrouvé, du moins en partie, ses souvenirs d'une vie d'antan. La mort de son grand-père avait énormément affecté Howard Phillips Lovecraft, il n'est donc pas si étonnant que le même événement provoque le choc nécessaire à Harvey pour se souvenir de cet auteur ayant vécu une vie bien peu enviable.

Par ailleurs, cette découverte a quelque peu déstabilisé le jeune homme. Traduisons cela par le fait que s'il était déjà du genre casanier, sa misanthropie, bien que déjà présente, n'était pas aussi prononcée que maintenant.

Aussi est-il naturellement méfiant quand on tente de se rapprocher de lui, qui sait, avec tous ces gens étant soumis à la cause de Noctem, il pourrait avoir des ennuis à force de dire ce qu'il en pense, de ce roi de pacotille.

Et quand bien même si au fond, on doit bien se foutre de l'avis d'un garnement ne sortant de chez lui que pour acheter son cola adoré, lui, il est persuadé qu'on lui veut du mal. Oh, mais l'heure tourne, et Harvey n'a toujours rien écrit. Les joies de la procrastination.

    Black Hat dit:
    Tu es encore connecté à cette heure ????
    Cola dit:
    Je pourrais te poser la même question. Tu ne devais pas te rendre à l'une de ces soirées pleine à craquer de sous esprit ?
    Black Hat dit:
    J'en rentre. Je te signale qu'il est 6 heures du matin.
    Cola dit:
    Oh... Ca explique les piafs faisant un boucan de tous les diables et la lumière filtrant par la fenêtre.
    Black Hat dit:
    Tu as encore veillé toute la nuit ?!
    Cola dit:
    Non non, je viens de me lever et je bois du thé devant mon écran. Crétin.
    Black Hat dit:
    Gardes tes sarcasmes pour tes ennemis. Je me fais du soucis pour toi, tu sais ?
    Cola dit:
    Oh, ne t'en fais pas pour moi. Plus j'évite de croiser le reste du monde, mieux je me porte.
    Black Hat dit:
    À ce rythme, tu mets ta santé en danger.
    Cola dit:
    Elle est déjà complètement détraquée, alors pour ce que ça peut me faire.
    Black Hat dit:
    C'est pas une raison !
    Cola dit:
    Bon, si c'est pour me faire emmerder, je préfère ne pas rester et te dire d'aller te faire sodomiser par des lépreux. Salut.

    Cola est actuellement déconnecté.


Voilà, on arrive à la fin, et vous devez vous dire " mais on veut en savoir plus sur son passé nous ! Et son caractère ! Et son physique ! ", hélas, je n'ai pas envie d'entrer dans les détails, surtout que je vous ai offert bien des indices sur son comportement général, comment il en est arrivé là et ses caractéristiques physique. Alors si vous n'avez pas compris que vous êtes en présence d'un petit blondinet aux yeux bleus, asocial et malade, je ne peux faire rien pour vous. Débrouillez-vous pour deviner le reste, ça vous fera les pieds. De ce fait, comme le dirait si bien notre jeune ami: Salut.



The Outsider

Notre race humaine n'est qu'un incident trivial dans l'histoire de la création : l'humanité est peut être une erreur, une excroissance anormale, une maladie du système de la Nature.
Pseudonyme : DARTH VADEEEER
Sexe : Xl.
Âge : 21, de ce que j'en sais.
Source de l'avatar : Kenneth "Kenny" McCormick, South Park
Comment avez-vous découvert SQE ? Batman voulait mon avis sur l'aspect graphique. Et j'ai lu le contexte des mois plus tard.
Des questions, des réclamations ? Bébééé faisooons l'amour ce soaaar, tout seul toazémwaaa dans le noaaaar !
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Dernière édition par H. P. Lovecraft le 12.09.12 16:38, édité 2 fois
 
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Personnage Incarné : Œdipus Rex
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Je n'ai pas cru dès lors pouvoir laisser à d'autres le soin d'entendre votre appel, je suis venu à vous moi-même, mes enfants, moi, Œdipe — Œdipe au nom que nul n'ignore.
fichers


VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE
Âge : 24 ans.
Métier : Garçon de café, étudiant.
Que pensez-vous de Noctem ? :
Tout ce que j'ai écrit, je l'ai d'abord rêvé - LOVECRAFT Empty
MessageSujet: Re: Tout ce que j'ai écrit, je l'ai d'abord rêvé - LOVECRAFT   Tout ce que j'ai écrit, je l'ai d'abord rêvé - LOVECRAFT Empty25.06.12 10:28

Je te dis pas bonjour vu qu'on parlait jusqu'à ce que t'ailles te coucher et je te dis pas bienvenue vu que t'es pas le bienvenu ici parce que tu es gros et moche.
Bref.
J'vois pas ce que tu lui reproches à cette fiche, moi j'ai bien rigolé. ... Après tu me diras, les blonds à l'esprit critique et qui se font pas chier avec le tact semblent éveiller le côté obscur de mon sens de l'humour.
Bref, tu es validé ; cours donc rp, Penetrator !
 
 

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