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 YO LES FEMMES SAVANTES

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Molière
Molière
MODO TEMPORAIRE — no ! IT'S SUPERGUN
MODO TEMPORAIRE — no ! IT'S SUPERGUN
Âge : 29
Messages : 49
Date d'inscription : 24/06/2012

Préface de Cromwell : le malade imaginaire et le médecin malgré lui feraient mieux de ne pas se rencontrer

VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE
Âge : 19 ans
Métier : donneuse de châtaignes
Que pensez-vous de Noctem ? :
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MessageSujet: YO LES FEMMES SAVANTES   YO LES FEMMES SAVANTES Empty24.06.12 12:44

YO LES FEMMES SAVANTES Pres10
pas de précieuses ridicules !

AGE 19 ANS
PROFESSION BOXEUSE PROFESSIONNELLE
CAMP CONTRE NOCTEM

QUI NE CONNAÎT PAS L'Avare, Le Bourgeois Gentilhomme, Le Malade Imaginaire, Tartuffe, Dom Juan, Le Misanthrope, Amphitryon, L'Amour Médecin, Les Précieuses Ridicules, Le Médecin malgré lui, L’École des Femmes ETC ?

NOM COMPLET BAPTISTE POQUELIN
DITE MOLIÈRE.


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un monde de tartuffes

NOCTEM ET TOI, MOLIÈRE < Je m'appelle Molière parce que Jean-Baptiste a choisi de s'appeler Molière, et pas parce que je suis mon destin ou les absurdités de ce genre. On apprendra que ce roi qui trace les destinées a été créé dans l'esprit des malades imaginaires, vous verrez ! >
TON CAMP ET TOI, MOLIÈRE < Parce qu'il y en a d'autres, qui ont le cran de se dresser contre lui ? >
TON DEGRÉ D'ENGAGEMENT, MOLIÈRE < Ceux qui partent au combat le front baissé sont des idiots. Il faut d'abord regarder l'adversaire droit dans les yeux, échanger un regard tacite avec lui, mais tu connais pas ça, t'es jamais monté sur un ring - ça te prend au cœur, l’œil d'un homme qui veut se battre. Si jamais ce Noctem existait, il faudrait l'attaquer par une droite au flanc, et s'il est si terrible que ça, alors faut même utiliser les jambes à la boxe française. >
TA PLUS GRANDE PEUR, MOLIÈRE < ... >
La solitude.


YO LES FEMMES SAVANTES Pres210
prends ça, bourgeois gentilhomme !


Les gens applaudissent Molière.

Ils adorent s'arrêter pour la regarder se donner corps et âme à son spectacle. Ils l'observent gesticuler des bras, battre des jambes et prendre des expressions faciales exagérées qui appuient sa colère ou sa joie. Molière tournoie sur sa scène et fait voler ses longs cheveux bouclés, et puis l'autre acteur la projette contre le ring et les gens retiennent leur souffle.

Molière cherche la merde. En permanence. Tout le temps les poings levés et tout le temps le sourire goguenard. Toujours prête à lancer des tartes et à se répandre en hilarité sur l'humiliation cruelle d'une tierce personne. Chercher les problèmes est une malédiction dont elle est accablée depuis le jour où elle est née Jean-Baptiste Poquelin. C'est vraiment plus fort qu'elle : il faut qu'elle querelle et qu'elle importune quand elle le souhaite, à la moindre trace d'antipathie, d'injustice, ou tout simplement, de laideur.

Elle se ressaisit,

Viens à moi, gros tas, faquin, fillette, fi !

C'est plus fort qu'elle. Il faut qu'elle fourre son nez partout et qu'elle le fronce. C'est une envie irrépressible de faire des croche-pattes et de pointer du doigt la pitoyable silhouette affalée par terre.

Elle sautille sur place, montre son flanc pour réduire le champ d'action de l'ennemi, ses pieds volent sur le sol et ses cheveux soigneusement tirés en arrière rebondissent sur ses omoplates. De temps en temps, son bras se tend brusquement pour mollement heurter l'épais bras de son adversaire.

— Hé juge ! Pourquoi tu me fais combattre une gonzesse ? C'est un combat de rue, pas un ballet pour princess-
Maraud !

D'un coup, la droite décochée dans l'oeil du type le fait vaciller. Il ne sait même plus ce qu'il disait. Il regarde, l'air hagard, sa vivace ennemie. Son œil lui fait mal. Elle avait sacrément bien visé, il ne pouvait plus l'ouvrir sans voir flou, comme si elle lui avait jeté un voile clair devant les yeux.

Molière ne frappait pas fort, mais elle visait juste.

Pendard ! Coquin !

Enfin irrité, il se meut lentement, lourdement il lève les bras, et de ses poings de pachyderme veut frapper l'agile Molière.

Ha ! Ha ! Tu es aussi gras qu'un bourgeois gentilhomme !

Les gens regardent Molière tourner autour de son adversaire comme la mouche vole autour du lion.

Aussi loin qu'elle se souvienne, elle traitait les gens de harpagon, de tartuffe, de scapin, de jourdain.
Cependant, elle n'a jamais lu les œuvres de Jean-Baptiste Poquelin. La lecture n'était pas faite pour elle - et faire connaissance des œuvres qu'elle avait écrites dans une autre vie ne lui présentait aucun aspect pratique. L'école des Jardins avait même abandonné son cas. Et pourtant, les professeurs étaient affreusement tristes de perdre une élève comme elle - imaginez, ils auraient pu apprendre la langue de Molière à Molière. Ses parents avaient arrêté, eux aussi, de lui envoyer des SMS angoissés dès vingt-trois heures passées. Ils avaient été bien contents de voir qu'elle avait un minimum de responsabilité pour partir à dix-huit ans sans demander un seul sou.
Mais c'est parce qu'ils savaient que leur fille allait se débrouiller. Elle était Molière, après tout, et même si elle dormirait au caniveau quelques temps, elle finirait, sans doute, dramaturge sous l'aile du roi. Ils avaient déjà hâte de la revoir, grande et mature, elle viendrait avec son Illustre Théâtre et tout le monde acclamerait sa silhouette sur le théâtre de l'Epidaure. Elle dénoncerait les injustices et éviterait la censure. Elle triompherait des corbeaux de la critique et elle laisserait de nouveau sa trace dans la postérité. Ce serait formidable : elle ferait au moins aussi bien que Jean-Baptiste. Son profil figurerait dans tous les livres de littérature et d'histoire, un profil féminin et novateur, au théâtre à la fois correct et impertinent.

Molière s'était bien gardée de dire qu'elle n'en avait rien à foutre du théâtre et qu'elle ne blairait pas le roi de Cassandre.

Puis elle avait compris que, même sans toucher au théâtre, elle était faite pour les arts du spectacle. Elle ne serait pas metteuse en scène ou comédienne ou quoi que ce soit. On la regarderait parce qu'elle aimait qu'on la regarde, et qu'elle savait ce qu'elle faisait, quand des dizaines de paires d'yeux étaient braqués sur chacun de ses mouvements.

Je vous félicite, mademoi... madame Minelli.

Elle lui tendit tout à coup sa main.
Evidemment, Dominique ne savait pas du tout qui était cette femme, cette infirmière inflitrée dans le palais de justice - cette pauvre Baptiste devait se déguiser pour ne pas se faire alpaguer par tous les gardiens de la paix de Cassandre, la réputation de Molière lui causait une foule de désagréments.

— Eh bien... Merci.
C'était vraiment bien, je vous assure.

Molière regardait avec fierté sa done Elvire.
Elle aurait du lui dire : méfie-toi de Don Juan, ma petite Elvire, prends garde ou il te brisera le coeur, la réputation, et l'esprit une seconde fois. C'était son devoir, en tant que Molière. Mais elle ne le fit pas. Elle lui serra longuement la main avec un sourire satisfait et s'éclipsa sans demander son reste lorsque Juliette arrivait de la chambe des accusés pour rejoindre l'avocate.

La raison aurait pu être son ignorance quant à leur histoire - on avait dit que Baptiste n'avait rien lu de ses propres oeuvres, mais elle s'était renseignée un minimum, et quelque chose lui soufflait tout dans sa tête ; c'était comme si elle avait lu et vu ses pièces il y a très longtemps, et que des bribes revenaient parfois pour lanciner sa tête de visions bercées à l'aube de sa vie. Mais Molière ne dit rien à Dominique parce qu'elle savait que les deux femmes étaient tout à fait conscientes et responsables d'elles-mêmes. Rien ne servait de se mêler à leurs affaires. Et si elles pouvaient jeter leurs destins à deux sous aux ordures, tant mieux ; mais Molière n'interviendrait en aucun cas. C'était à elles de s'occuper de leurs histoires, et de loin elle les suivrait pour savoir ce qu'elles auraient décidé, juste pour sa soif de curiosité naturelle.


Le round sonne.

Molière vivait dans un deux pièces étouffant et faisait ses courses le mardi. Elle allait dans les laveries automatiques pour nettoyer ses vêtements et attendait assise pendant les cinquante-cinq minutes sur sa machine, parce qu'autrement il y avait un risque qu'on lui vole ses maillots professionnels. Mais ce n'était pas la nécessité qui la poussait à quémander des combats de rue. Les parieurs se jetaient toujours sur ses adversaires, des ours du ring, au moins cent vingt kilos de muscles et de testostérone. Pourtant, elle avait beau être une femme, ses épaules bien bâties et ses cuisses solides n'en faisaient pas non plus une frêle gymnaste : c'était, à coup sûr, ce satané monde machiste qui rendait la vie de notre Molière mille fois plus dure. Et pourtant, même le Molière mâle en avait bavé, de son temps.
Elle y pensait parfois avec détachement, se demandant ce qu'elle aurait été en tant qu'homme. Ses poings n'auraient pas fait rire - on les aurait craints.

Blaise lui disait souvent d'arrêter avec son bordel. Gagner sa vie au combat, ce n'était pas pour une femme, surtout pas pour Molière. Mais il y avait quelque chose qui battait dans le pouls de Baptiste et qui lui disait : fille, tu es née pour ça. La sueur collant les minces cheveux du front contre les tempes et l'halètement de l'adversaire qui rassemble ses forces, les spots aveuglants et les huées de la foule - elle sentait à chaque fois une alchimie de la dopamine qui lui soufflait un vent de satisfaction mêlée à la gloire.

La gloire. Molière tenant un trophée étincelant, la main levée au ciel par l'arbitre en chemise rayée, rayonnante d'épuisement et d'orgueil. Molière glorieuse d'un combat légal ou pas, on s'en fiche, la gloire seule comptait.

Elle se reçoit tout un coup le poing de son adversaire dans le thorax. Elle suffoque par terre, et l'ombre du colosse la surplombant de sa phénoménale hauteur lui donne le tournis.

— 3 !

Elle tousse. Elle a le souffle coupé et brusquement toute l'énergie a quitté tous les membres de son corps.

Madame Poquelin était si fière d'avoir enfanté une légende.
Cette légende ne se fait pas applaudir sur scène, non. Les gens des tribunes la regardent et jasent sur sa silhouette tassée devant l'arbitre. Il paraît que c'est d'elle, dont on a retrouvé le paquet explosif à la tour Olympe. On m'a dit que cela valait la peine de venir voir combattre Molière. Elle mène une campagne de terreur - quand elle ne fait pas son trafic avec les opposants au régime, elle veut toujours en mettre plein la vue à tout le monde, même aux cours de combats nocturnes dans des halls désaffectés. Cette terroriste est décidément folle, elle ne se rend pas compte que Noctem veut la boucler une fois pour de bon, elle devrait arrêter de s'exposer ainsi aux yeux de tout le monde. C'est affreux comme c'est irresponsable, quand cela se sait Molière et quand cela se pense intouchable. La milice l'arrêtera avant qu'elle n'ait le temps de dire nenni.

Faux, faux, tout cela. Le pire acte de rébellion qu'elle n'ait jamais mené, c'était cette dissertation révoltée qu'elle avait écrite pour un examen au lycée. On l'avait virée, et elle n'a plus jamais remis les pieds dans un établissement scolaire.

— 2 !

Docteur, ça me tue de te demander ça, mais regarde mon œil.

Elle souleva le bandage hâtivement fait sur son œil gauche.
Le nez froncé par le dégoût, elle s'efforçait d'ignorer l'odeur propre de l'alcool désinfectant, et son regard fuyait les nombreux ustensiles argentés du médecin. Molière n'avait peur de rien, les caïds, les pirates, la garde du roi pourrait venir l'arrêter qu'elle se défendrait, mais un homme, un seul en blouse blanche pouvait la paralyser.

Sa haine des médecins avait été vaincue par la crainte que son oeil gauche pourrisse des suites d'un combat un peu irrégulier.
On lui avait dit que le cabinet du docteur Jekyll était bien, propre, efficace, discret.
Il avait soulevé sa paupière et examiné son oeil avec une lampe terrifiante qui lui donnait l'impression de brûler sa rétine. Elle essayait de tourner le regard ailleurs, mais il se devait de regarder son iris, et elle ne pouvait que fixer les yeux du docteur, les sourcils du docteur, le front du docteur, le masque du docteur, le terrible masque du docteur qui lui faisait tant peur.
Oh, madame Poquelin, pourquoi n'êtes-vous pas là pour voir où a fini votre fille ?
Les hommes en blancs l'avaient charcutée, et le désastre que fut son opération rappelait chaque jour à Molière dans quelle boucherie sa mère était décédée.

Fais vite, j'ai pas tout mon temps non plus !
— C'est rien du tout, on peut le soigner avec-

Molière s'était déjà levée en déposant brutalement le chèque sur le bureau.

— D'accord. Tu porteras ce bandeau en attendant.

Elle était partie. C'est la troisième fois de sa vie où elle avait affaire avec un médecin - la première fois, c'était pour couper son cordon ombilical, la deuxième, pour voler une tenue d'infirmière et ainsi mener une campagne pour dissuader les gens de payer ces vautours qui se repaissent sur la chair humaine.


Alors que sa vision se remettait lentement à jour, alors que les huées de la foule emplissaient son crâne, alors qu'elle sentait ses membres meurtris subir tout à coup tous les dommages reçus, une voix perçante retentit et Molière sentit que l'on versait une trombe d'eau sur sa tête.
Elle la tourna vivement - et put distinguer les cheveux couleur aurore d'une fille qu'elle ne connaissait que trop bien.

— Tiens bon, Molière !

Cette scène avait déjà eu lieu il n'y a pas si longtemps.

Baptiste jetée aux ordures suffoquait sous les coups de terribles bêtes abruties par la fureur. C'est Molière, disaient-ils, c'est cette tarée qui menace de renverser le système. Ils l'avaient repérée alors que le match de foot à la télé du pub entrait dans les arrêts de jeu, ils l'avaient prise au collet et jetée dehors, et ils lui vociféraient des atrocités qu'elle n'avait pas commises. Ce n'est pas elle qui avait fait sauter la banque centrale, ni elle qui avait tenté d'assassiner le père de machin, fonctionnaire à l'olympe, ce n'est pas elle non plus qui avait essayé d'incendier les locaux de l'Oculus, mais personne ne lui laissait son mot à dire.
Comme personne ne lui avait donné l'opportunité de se développer comme elle le voulait - déjà à l'école elle était Molière et c'est Molière que l'on poursuivait pour des méfaits imaginaires.
Alors qu'elle ne voyait même plus la lueur de la clope au bec de celui qui la tabassait, son supplice avait pris fin.
Elle s'était réveillée chez mademoiselle Blair Worthington qui tout à coup prit une ampleur folle dans le cours de sa vie. Personne ne s'était occupée d'elle comme cela jusqu'à cet instant. Elle l'avait transportée chez elle, elle lui avait pansé les plaies et elle avait surveillé sa fièvre. La bonté de son traitement aurait pu être douteuse si la sincérité de sa générosité ne transparaissait pas autant dans la façon qu'elle avait de lui éplucher les pommes tout droit venues de chez Smith&fils.

Elle ne l'avait pas revue depuis ce jour-là.

Entendre Blair lui fit comme un électrochoc - comme lorsque les damnés du coma entendent un air et ouvrent les yeux. Elle se sentait éclore dans le nouvel instant du combat, et jamais les cris des tribunes ne lui parurent aussi vifs. Son souffle lui parut tout à coup vrai, comme si jamais de sa vie elle n'avait vraiment respiré, et les spots l'éblouirent. Elle vit, exactement comme dans les films historico-dramatico-sportifs, un ralenti dramatique sur les mouvements de l'arbitre qui s'approchait, et pressentait de tous ses sens mis en alerte les déplacements de son lourd adversaire. Elle se sentait prête à l'anéantir en un mouvement ancestral du kung-fu, et l'odeur du sol, et la mollesse de son gant lui firent réaliser que ce n'était pas une vie ça, de se faire mettre à terre par des géants au qi d'une palourde, et de se faire railler de partout dans la rue. Et puis elle comprit qu'elle pouvait aussi se battre en dehors des matchs. Que s'entraîner et combattre avait été un purgatoire pour les méandres de ses réflexions avortées, et qu'elle pouvait remédier à tout cela, à tout ce que lui disait Maupassant quand elle se faisait rabrouer sur ses manières, que ces fanatiques qui l'attaquaient pouvaient être corrigés par une bonne droite, et que le monde entier pouvait se plier devant le talent de Molière. Ses yeux firent un mouvement circulaire de Blair au ring.

L'arbitre est sur le point de siffler. Il prend son instrument, il le lève à sa bouche, il entrouvre les lèvres pour se préparer, il va crier le fatal 1 ; et elle prend son inspiration et se relève et ses pieds adroits fuselés dans les minces baskets de boxe volent dans les flancs de l'hippopotame.

— C'est interdit, ça !
Que nenni !

Blair Worthington avait en un instant changé le cours de sa vie - et, chose impossible, c'est elle qui la persuada d'aller consulter un médecin pour son oeil.


gun
c'est trop d4rk de dire s'appeler gun en jouant une boxeuse trop d4rk.
17 févriers dont quatre bissextiles.
4 février, verseau.
un très maigre bonnet a.
j'utilise Uryuu Minene de Mirai Nikki.
et je joue aussi Orphée.
 
Pétunia Œ. de Thèbes
Pétunia Œ. de Thèbes
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Personnage Incarné : Œdipus Rex
Surnom : Fureur
Préface de Cromwell :
Je n'ai pas cru dès lors pouvoir laisser à d'autres le soin d'entendre votre appel, je suis venu à vous moi-même, mes enfants, moi, Œdipe — Œdipe au nom que nul n'ignore.
fichers


VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE
Âge : 24 ans.
Métier : Garçon de café, étudiant.
Que pensez-vous de Noctem ? :
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MessageSujet: Re: YO LES FEMMES SAVANTES   YO LES FEMMES SAVANTES Empty25.06.12 10:39

So many darkness.
Je te renomme, tu es désormais The Dark Batgun. (THE DARK BATGUN RISES, 25 JUILLET 2012, TMTC)
Et validée.
Amour.
 
 

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