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 Dumas | Can you feel it, the beat?

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Alexandre Dumas
Alexandre Dumas
Messages : 12
Date d'inscription : 04/09/2012

Personnage Incarné : DUMAAAAAAS (père, bien sûr)
Surnom : Dumas, Alex, Lex, tapette rose (IRMA)...
Préface de Cromwell : Can you feel it, the beat?

VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE
Âge : 24 ans mon bon monsieur.
Métier : GYNECOLOOOOGUE - Et oui c'est moi qui va vérifier que ta chatte va bien.
Que pensez-vous de Noctem ? :
Dumas | Can you feel it, the beat? Empty
MessageSujet: Dumas | Can you feel it, the beat?   Dumas | Can you feel it, the beat? Empty06.09.12 20:47

Un début dans la vie

Tous pour un, un pour tous!
▬ Dumas
Dumas | Can you feel it, the beat? 554411tumblrllz6raAunF1qgzd23o1500thumb1Œuvres principales : Les Trois Mousquetaires, Le Comte de Monte-Cristo

Nom, prénom(s) : Alexandre Dumas.
Surnom : Dumas, Alex, Lex, "ma tapette rose" pour Irma.
Âge : 24 ans.
Métier : FUTUR GYNECOLOGUE. Travaille donc à l'hôpital.
Camp : Celui de Rabelais. TOUJOURS. Et des vagins à examiner.


La Débâcle

L'homme naît sans dents, sans cheveux et sans illusions, et il meurt de même, sans cheveux, sans dents et sans illusions.
▬ Dumas


    Le monde n'était rien, rien d'autre qu'un amas de poussières et de morceaux de multiples corps célestes. Mais dans sa grande mansuétude, le Très Haut, d'un simple geste de la main, balaya cette inutile multitude pour former le panache, le courage et la ruse, créant ainsi l'être parfait: Dumas!


Noctem et vous : Dumas accorde autant de considération à Noctem qu'à sa paire de chaussettes sales. Sans doute mériterait-il également un petit tour à la machine à laver, pour le nettoyer de sa malice. Et qu'il arrête de troubler Rabelais, tel l'arpion sauvage courant le poil masculin. Paradoxalement, il est bon de souligner son intérêt pour les créations du Maître de Cassandre, sa capacité, sa volonté à générer le chaos en ayant l'idée saugrenue de réunir tant d'esprits plus ou moins sains, plus ou moins élevés, en un même lieu. Voilà un bel exemple de folie géniale, pour sûr.
Votre camp et vous : Rabelais et Dumas sont tellement copains qu'on va jusqu'à les désigner comme un couple gay. Mais ça, c'est jusqu'à ce que les gens voient que Dumas a en fait une meuf. Qui n'a pas toujours la même tête, mais ceci relève de la futilité.
Votre degré d'engagement : Dumas s'engage beaucoup quand il s'agit du bien-être de Rabelais. Les filles, c'est très bien, mais les copains c'est toujours mieux. Alors le voilà garde-du-corps plus ou moins officiel, parce que Rabelais ouvre toujours un peu trop sa gueule. Quant au reste, c'est uniquement selon ses intérêts personnels.
Votre plus grande peur : Personne ne songerait une seule seconde qu'un joyeux luron tel que Dumas puisse avoir peur. Peur. Peur de quoi?
Mais personne n'imagine le bouillonnement quasi-permanent derrière la crinière rose, car plus que Noctem, Dumas a peur de lui-même, de ses propres réactions et pensées.


Le Temps retrouvé

Il est permis de violer l'histoire, à condition de lui faire un enfant.
▬ Dumas



Quand il était petit, Dumas rêvait d'être trapéziste. Il avait envie de porter un beau costume brillant. Il l'avait même imaginé et dessiné, bleu et blanc avec des sequins et des paillettes, de quoi éblouir à mort le public, avec la lumière des spots. Il ne serait alors plus qu'une étoile traversant le ciel entoilé, volant d'une barre à l'autre, à trente mètres du sol. Et il rirait, rirait d'eux, qui étaient petits, si petits et insignifiants, terriblement ignorants, affreusement stupides. Alors, dans un saut, il raterait sa prise, et s'éclaterait au sol dans un éclat écarlate.

Mais ça, c'était avant de réaliser qu'il était Alexandre Dumas.

* * *

Le mouvement était parfaitement ridicule. Une sorte de déhanchement et de sautillement, les bras rigides légèrement tendus en avant. C'était ainsi que Dumas avait foutu les pieds à l'hôpital où il allait devenir interne, pour la première fois. Besoin de se défouler sur fond de musique électro de type plus-que-populaire, le genre qui vous restait en tête pour la semaine au bout de trois écoutes. Lui trouvait ça très drôle. Et puis se défouler ainsi lui permettait d'évacuer le stress de la nouveauté, de canaliser l'excitation de l'inconnu, la peur du grand X qu'on ne parvenait à déterminer. Le matin, au lieu de rapidement se doucher, il avait même légèrement pété un câble, au point de jouer pendant un quart d'heure avec sa crème à raser, en s'écrivant diverses choses dont la philosophie pouvait très largement être remise en cause, avant d'enchaîner avec un soutien-gorge pour savoir que ce ça faisait d'être une fille. Mais n'ayant pas le poids nécessaire à une meilleure appréhension du phénomène, il avait tout nettoyé sous la douche, avant de sauter dans ses vêtements et se barre en courant, parce qu'il s'était mis en retard.

* * *

C'était à la suite d'un pari stupide qu'ils avaient fait, plusieurs jeunes crétins d'une vingtaine d'années n'ayant définitivement rien de mieux à faire de leur misérable peau. Ce pari concernait l'opération de chirurgie esthétique d'une cliente régulière, toujours plus enlaidie par les coups de bistouris, et qui persistait à trouver le résultat joli. Une erreur au milieu des internes, à côté de ce blond de Dumas, en la personne de Rabelais, qui s'était habilement mêlé au reste du groupe en racontant n'importe quoi de l'air le plus convaincu du monde. Et puisque les titulaires ne se souvenaient pas des noms des internes au bout de deux ans non-stop de fréquentation intense, pétrie de sarcasmes et de mépris pour cette sous-espèce qu'était la jeunesse, la présence du jeune prêtre était passée crème, alliée au silence des autres internes, médecine ou chirurgie sans discrimination, parce qu'ils emmerdaient quand même un peu l'autorité, sans avoir les burnes de dire "merde" ouvertement.
Le pari, donc, consistait à savoir comment la patiente - ou cliente, ça correspondait mieux au phénomène - sortirait du bloc. Dumas et Rabelais, son comparse de toujours, avaient eu l'humour de prétendre qu'elle deviendrait définitivement un canard. La créature manquant au final de plumes, les voilà qui s'étaient retrouvés les cheveux teints en rose. Mais sans se démonter un seul instant, ils avaient conservé la coloration, qui leur convenait.

Dumas connaissait Rabelais depuis tellement longtemps qu'il ne se souvenait même plus de leur rencontre.

* * *

    - OH! Poussez-vous, votre nouveau gynécologue est là.
    - T'es sérieux?
    - Personne voudra de toi, t'as vu ta gueule, avec tes cheveux roses?
    - Hum, je trouve ça mignon moi. Puis il est toujours gentil avec les filles.
    - C'est un piège, UN PIEGE. Dumas a toujours l'air mignon. C'est juste un gros pervers.
    - Cesse donc de me flatter, jeune impertinent. De toute façon je le sais, vous êtes tous JALOUX de ma réussite future!


* * *

Dumas se nourrissait d'amour et d'eau fraîche, d'aliments sucrés à l'écoeurement, de sourires mielleux au possible. Il avait eu un coup de coeur pour elle, mais découvrait petit à petit qu'elle le gonflait. Toujours les mêmes intérêts creux, la rechercher d'une existence vide alors qu'il y avait tant à faire, à dire!
Il ne concevait pas du tout la vie de sa façon à elle. Il ne voulait pas d'un truc aussi plat, aussi fade et déprimant. Dumas voulait de la couleur et de l'explosion, frôler le mauvais goût pour mieux cracher sur les gens. Pour tout ce qu'ils pouvaient chier, à peine un dixième était récupérable, et c'était seulement ce qui n'était pas convenable. La production des gens bizarres, dénigrés mais terriblement intéressants. Alors quitte à outrer le reste du monde, autant y aller, et bien mettre ses gros sabots dans le plat sans aucune bien séance. Il ne croyait pas une seule seconde à ses propres minauderies, et là était la clé du mensonge, une trahison de la pire engeance qui soit. La seule chose qu'il désirait, c'était la relation la plus platonique qui soit, sans avoir besoin de charnel d'aucune sorte. La magie de deux esprits se rencontrant dans un Bigbang d'idées, sans avoir à se vomir de sa propre cruauté.
D'un autre côté, la tentation de jouer le jeu n'était que trop tentante, et il cédait régulièrement à cette envie, quitte à se dégoûter après de tant d'hypocrisie. Il avait besoin d'y retourner à chaque fois. Peut-être par masochisme. Encore que ça pouvait bien relever d'une simple curiosité mal placée.

* * *

    - Vous avez de la chance, ce n'est pas un herpès vaginal.


Ce n'était pas la première fois que Dumas se retrouvait face à un cas de rien. Depuis qu'il avait dépassé le statut d'interne, pour aller plus loin, il avait choisi une voie... Peu banale. La raison d'un tel choix demeurait un vrai mystère pour tout le monde, et Dumas gardait le secret. C'était une spécialité, chez lui. C'était comme ça qu'il s'en sortait, en étant d'un stupéfiante sincérité jusque dans ses mensonges, sans jamais y accorder une seule fois du crédit, dans un paradoxe des plus étranges. C'était le meilleur moyen d'avoir la paix, tout en restant gentil et égal à lui-même avec tout le monde, même ceux qu'il n'aimait pas.
Aussi avait-il un succès certain auprès de la gente féminine, qui, non contente d'avoir un jeune homme au physique agréable à qui s'adresser, se trouvait toujours face à un médecin courtois et souriant, capable dans sa fonction, et dont les cheveux teint dans un rose doux étaient étrangement charmants. Du coup, de la jeune femme de vingt ans, à la mature cinquante ans passés, Dumas examinait toutes ces dames plus ou moins belles, plus ou moins charmantes, plus ou moins intelligentes, en jouant sa comédie habituelle.
Au fond, il aimait bien ça. Probablement que ça lui évitait de trop cogiter, ça lui occupait l'esprit, et il évitait les questions plus cruciales, celles qui rendaient fous les habitants censés de Cassandre, ceux qui voyaient clairs. Lui niait l'évidence avec un acharnement pouvant passer pour désespéré, malgré sa bonne nature. Là résidait sans aucun doute le tragique de sa vie, quand il ne s'amusait pas à provoquer Aramis en duel en pleine rue, parce qu'il s'amusait à tourmenter gentiment ses propres personnages. Quand il ne faisait pas promotion de ses oeuvres auprès de Caligula, pour le détourner de sa vraie nature, parce qu'il ne voulait pas le voir mal tourner.

Au fond, Dumas était un menteur incroyablement sincère et attentionné. Un vrai faux menteur, le genre simplement compliqué.

* * *

D'un grand coup de pied énergique, Dumas finissait d'enfoncer la porte entr'ouverte de l'église de Rabelais.

    - TRALALA C'EST MOI!


Le Retour à la terre

On ne vit pas de ce que l'on mange, mais de ce que l'on digère.
▬ Dumas
Pseudonyme : Gunther. Ou Fran.
Sexe : Jamais après manger.
Âge : Flûte, turluuuute.
Source de l'avatar : Shimizu Raikou - Nabari no Ou. POUR MIEUX TROUBLER L'ENNEMI.
Comment avez-vous découvert SQE ? Sganarelle m'a mené ici. Puis je suis devenue Freud. Puis Malik et moi avons eu une brillante idée. C'est ainsi que Rabelais et Dumas sont nés.
Des questions, des réclamations ? JE SUIS NUE, NUUUUUUUUE. *met des feuilles de vignes sur l'absence d'avatar* GUN ME SAUVE DE MON ETAT DE CLOCHARDE TELLE UNE WONDERWOMAN ENSOMMEILLÉE.
Pardon pour cette histoire, aussi. Combo famille bruyante et Jane Eyre sur Arte, c'est très déconcentrant. Alors que j'étais bien partie, j'ai perdu le fiiiil. *SEUM*
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MODO TEMPORAIRE — no ! IT'S SUPERGUN
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Date d'inscription : 24/06/2012

Préface de Cromwell : le malade imaginaire et le médecin malgré lui feraient mieux de ne pas se rencontrer

VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE
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Métier : donneuse de châtaignes
Que pensez-vous de Noctem ? :
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MessageSujet: Re: Dumas | Can you feel it, the beat?   Dumas | Can you feel it, the beat? Empty08.09.12 18:19

Rebienvenue chaton ! (je me la joue Discord) (quoi je fais encore du cross-over)

Ce serait marrant qu'on ait Alexandre Dumas fils, on les confondrait tout le temps. ... C'était la seule remarque intéressante que j'avais à faire. J'aime beaucoup, et hâte de voir cette mystérieuse Irma ?
Et j'aimerais bien avoir un gynéco comme Lex.
Comme je valide ton auteur, tu recevras prochainement un avatar offert par le staff (c'est la première fois que je pense à le dire du premier coup, sans éditer, tiens.)
 
Alexandre Dumas
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MessageSujet: Re: Dumas | Can you feel it, the beat?   Dumas | Can you feel it, the beat? Empty08.09.12 18:39

Je réponds très rarement après une validation (mais je pense le merci - un peu comme Rhéda qui sourit dans sa tête - CROSSOVEEER tmtc, c'est perturbant), mais là...


Oui je me disais aussi qu'un Dumas exaspérant un Dumas serait un phénomène fascinant. 8D


(mais je voudrais pas avoir un gynéco pareil) (ou même un ami pareil) (il me ferait plus peur qu'autre chose, je crois.)

 
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MessageSujet: Re: Dumas | Can you feel it, the beat?   Dumas | Can you feel it, the beat? Empty

 
 

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